Yo, Minna !!


Après quelques mois d’écriture (et oui cette fic a été commencé le jour de l’an a 7h du matin c’est dire…) voilà enfin une nouvelle fic sur Bleach


C’est pas trop tôt…


Warning : c’est normal si le début paraît un peu totalement stupide vu qu’il a été écrit le jour de l’an à 7 heure du mat à peu près avec ma moitié de moi après une nuit ou on a pas dormi…alors bon on comprend…


et pis ils sont pas à moi...pff j'en ai marre...


Alors euuh Kronk c’est à toi !!

Byakuya est bôô !!!



Une petite gâterie ?



Nan. C’est pas comme ça que ça commence.


Il était une fois le jeune et gentil fils du roi Kuchiki…


Merde.


Je crois que je me suis planté d’histoire.


Bon, on la refait.


Il était une fois…


Pourquoi ça commence comme ça ?! C’est pas un conte !!


Ça c’est encore le type des Miss France qui a mélangé mes fiches.


Deux secondes…c’est bon j’ai tout retrouvé. Surtout la bonne histoire.


Bon tout le monde est là ? 1, 2, 3 on recommence !

Kuchiki Byakuya déambulait élégamment entre les tables, son plateau chargé de cafés à la main. Il était en train de servir les clients lorsqu’il entendit pour la énième fois de la matinée (car rappelons qu’il est 8h29 (pour de vrai !!!) ) sonner le carillon de la porte.


Il déposa son plateau et arriva au niveau du jeune homme aux cheveux couleur de sang à la seconde où il allait s’asseoir pour lui tendre la carte. Il dégaina carnet, stylo et patienta quelques instants avant de demander :


- Vous désirez ?


- Hum…vous ?


Il toisa le jeune homme de haut en bas d’un air sceptique, regard qui envoya une vague de frissons dans le corps du dit jeune homme. Ses yeux d’obsidienne entamèrent une lente remontée qui passa en revue en détail :


chaussures : vernies, classiques, sobres. + 10


pantalon : coupe droite, classe, sur mesure. + 46


ceinture : inexistante. – 2…mais + 53 pour le contenu…miam.


chemise : de marque, premier bouton ouvert. + 61+ bonus de 10 pour le « pas de poil qui dépasse » + bonus de 17 pour le tatouage qui dépasse.


cravate : desserrée, sobre…slurp. + 24


bouche : ouais…carrément. + 57. + bonus de – 5 neurones (équivalent à +69) pour le petit bout de langue qui vient de passer dessus.


nez : droit, parfait. + 12


yeux : ah… + 496,99999999999


cheveux : rouges, rouges et rouge érotique…et longs. + 518,65


Ce qui nous donne un total de : 1372,65. Avec un p’tit bonus pour le culot.


« Merde, il vient d’exploser mes stats… »


Et tout ceci, bien sûr, en l’espace de quelques secondes et dans le plus grand stoïcisme, à part une petite moue appréciatrice au niveau de la ceinture (cf : miam) et du visage (cf : 6, 7, 8, 9).


Pendant cet examen minutieux, la température corporelle de Renji augmenta de plusieurs degrés et une légère teinte rosée prit naissance sur ses pommettes.


« Hum…bonus + 10 pour les joues rouges…c’est trop chou. »


- Désolé, mais je ne suis pas sur la carte. Et puis…


Rien que pour le plaisir des yeux il refit un contrôle de ce corps.


- Je serais de toute façon bien au dessus de vos moyens.


- C’est pas dit.


Les deux hommes se défièrent du regard jusqu’à ce que le brun n’hausse les épaules et un sourcil tout en se retournant pour reprendre son travail.


- Au fait !


- Hn ?


- Un café.


Il allait pour repartir mais…


- Eeeeeet…


- Oui ?


- La petite gâterie qui va avec.


Il se retourna et toisa le jeune homme avec un regard qui disait à peu de chose près « on est dans un café, pas dans un bordel ».


- Je pensais aux gâteaux en disant ça.


Alors que le serveur se trouvait à mi-chemin entre le bar et ce client, la voix du dit client s’éleva…encore.


- Hey ! Le café…avec une p’tite pointe de crème.


- En gros un café crème.


- Voila.


- Avec une petite gâterie.


- Vous avez tout compris. Vous êtes génial.


Très exactement 13 secondes 47 centièmes plus tard, il revint avec le café, la crème et LE gâteau. Le jeune homme le regarda dans les yeux et lui fit un magnifique sourire.


- Merciiiiii !


« -570 pour être aussi chiant+ 571 pour le sourire bright »


Le client aux cheveux rouge érotique trempa son doigt dans la crème avant de le porter à sa bouche et de le suçoter pendant un bon bout de temps en produisant des bruits obscènes, les yeux rivés dans ceux du brun qui n’avait pas bougé d’un demi millième de millimètre.


« -348 pour être un sale allumeur vicieux et pervers… »


Alors même que cette pensée traversait son esprit, l’allumeur vicieux et pervers en question se passa sensuellement la langue sur les lèvres pour en ôter les dernières gouttes de crème qui auraient pu éventuellement s’y égarer.


« +576 parce que ça marche…grmbl. »


Il engloutit ensuite sa ‘petite gâterie’ au chocolat d’un seul coup, en prenant soin d’essuyer du bout des doigts les miettes au coin de ses lèvres, puis de les lécher un à un avec gourmandise, savourant la dernière micro goutte de chocolat qui aurait pu échapper à ses lèvres avides.


Il dégusta ensuite son café avec un ronronnement appréciateur, les yeux fermés, dans un moment d’érotisme intense, comme dans la pub pour carte noire, savourant chaque goutte du nectar avec un plaisir non dissimulé.


Après avoir reposé sa tasse et s’être pour la énième fois léché les lèvres, il ancra à nouveau ses yeux dans ceux du brun, avec un petit sourire.


« +52 pour le regard qui vous vrille jusqu’à la moelle…gloups. »


-Dites ?


-Hn ?


-Vous êtes pas censé avoir du travail ?


-Je reste là parce que j’ai une vue d’ensemble de la salle…pour voir les gens qui ont besoin de moi.


-En restant les yeux scotchés sur moi ?


-Uniquement pour voir si vous étiez…satisfait.


Un sourire diabolique éclaira les traits de l’homme qui murmura d’une voix douce et chaude :


-Et…d’après vous je le suis ou pas… ?


« +95 pour la voix…qui flanque des frissons (intérieurs, bien sur…on s’appelle Kuchiki ou pas…) »


Le brun ne lui répondit pas mais apporta l’addition pour s’occuper les mains, et attendit sagement que son client attitré farfouille dans son portefeuille pour lui tendre un billet.


Il retourna vers la caisse et déposa son plateau en même temps que la note, attendant un instant que le barman lui rende la monnaie, et retourna vers l’homme qui se levait.


Homme qui attrapa toute la monnaie, sans même laisser quelques centimes sur la table, et se dirigea vers la sortie, en passant exprès tout près de son serveur préféré.


Quand il le croisa, le serveur en question le sentit lui glisser quelque chose dans la poche arrière de son pantalon, laissant la main un petit peu trop longtemps pour être honnête, tout en lui murmurant :


-Et un petit bonus pour le serveur au joli petit cul.


Byakuya resta stoïque, même quand il sentit ses lèvres se poser furtivement dans son cou, et attendit qu’il soit parti pour mettre la main à sa poche pour en sortir un joli billet de couleur enveloppé dans un papier sur lequel était écrit un numéro de téléphone portable accompagné d’un smiley faisant un clin d’œil.


Il haussa les épaules et les remit dans sa poche, avant de récupérer la veste qu’il avait oublié sur la banquette et de partir s’occuper du client qui lui faisait des grands signes depuis au moins un quart d’heure.


Quelques temps plus tard, alors qu’il amenait un croissant et un chocolat viennois à une cliente, un bruit le fit tourner la tête.


Un petit sourire en coin éclaira son visage alors qu’il observait l’averse commencer à battre la mesure sur la grande baie vitrée du café.


Sans veste…sous la pluie…il allait être tout mouillé le pauvre…


La cliente au chocolat viennois lui rendit un immense sourire peinturluré, croyant qu’il lui était destiné, mais le serveur n’avait d’yeux que pour la porte, attendant le retour de son cher client à la veste oubliée.


Il n’eut pas à patienter bien longtemps, puisqu’au moment où il ramenait son plateau au bar, le carillon résonna à nouveau dans la salle et le client en question revint, trempé des pieds à la tête.


Le brun lui jeta un regard en coin et faillit en perdre son habituel air impassible. Il était tout essoufflé de la course qui l’avait ramené au café, ses joues était rouges, et quelques mèches écarlates lui gouttaient sur le front, alors que d’autres se collaient dans son cou.


Mais ce qui faillit vraiment le faire rougir se trouvait quelques centimètres plus bas. En effet sa chemise, blanche et fine, était aussi trempée que ses cheveux et donc complètement transparente.


Et le tatouage dont il avait eu un aperçu peu de temps avant en regardant entre deux boutons de chemise lui apparaissait maintenant en entier, arabesques couleur d’onyx qui serpentaient sur des muscles taillés au laser.


Quand il eut enfin récupéré toutes ses facultés mentales, le serveur se dépêcha de revoir ses stats :


« +658 pour la chemise qui colle au torse…+954 pour le tatouage parce que…Wow quoi…+bonus de 78 chacun pour les tétons qui pointent …bon c’est officiel…ce type vient d’atomiser mes stats…et tout habillé en plus. »


Le jeune homme ayant enfin repris son souffle se dirigea directement vers son serveur adoré qui l’attendait déjà sa veste à la main.


-Ah ! merci, j’ai du refaire tout le chemin sous la pluie pour venir la chercher.


-Je vois ça…


-j’aurais pas droit a un petit café gratos pour me réconforter et me réchauffer ?


« +65 pour les yeux de chiot…trop chou…mais bon, faudrait voir à pas déconner non plus… »


-Hum…laissez moi réfléchir…non.


-Une petite gâterie alors ?


-Au sens propre comme au figuré…non.


-Une toute petite ?


-Non.


-Alleeeeeez…une petite récompense pour avoir fait tout ce chemin rien que pour te revoir…


Byakuya fit mine de réfléchir un instant en notant que ce type qu’il connaissait depuis une heure à peine venait de le tutoyer puis, mettant fin à environ 13 secondes d’hésitation intense, l’attrapa par la cravate et le gratifia d’un langoureux baiser, sous les yeux ébahis du reste des clients et du personnel qui se demandaient s’ils pouvaient eux aussi avoir droit à ce genre de récompense.


Il lâcha ce client un peu privilégié et retourna à son travail sans un regard.


Le client en question, après s’être pincé deux ou trois fois pour être bien sûr que ce n’était pas un rêve et avoir regardé tout autour de lui pour retrouver son cher serveur, il prit un air outré du peu d’attention qu’il lui portait et hurla :


-HEY !


-Oui ?


-Tu sais que je ne serais jamais satisfait de ça et que ça me poussera uniquement à te draguer encore plus…tu le sais ?


-Oui, je m’en doute…


-Pourquoi tu l’as fait alors ?


-Parce que j’en avais très envie depuis tout à l’heure et que tu commençais à sérieusement m’agacer à parler pour ne rien dire.


Il y eu un instant de flottement durant lequel Renji assimila les information puis, ne retenant que ce qui l’intéressait, à savoir que ce beau brun avait une furieuse envie de l’embrasser depuis qu’il l’avait vu, un immense sourire naquit sur son visage.


Le beau brun en question était déjà retourné au bar pour rendre son plateau puis, comme si un flash l’avait traversé, il retourna vers le patron affairé à ses comptes et l’interpella.


-Monsieur, je me sens mal…je crois que je vais aller me reposer un peu dans la salle de repos…vous savez la pièce à coté des toilettes…celle qui à une porte qui ferme.


Le patron l’observa en silence un instant, réfléchissant au pourquoi du comment le serveur parlait si fort et lui faisait un compte rendu détaillé du lieu ou se trouvait la salle de repos…ou la SEULE salle où on pouvait s’allonger puisqu’en dehors de la salle principale et de la réserve où s’entassaient bouteilles et autres provisions, c’était la seule pièce de ce café.


Il haussa les épaules et autorisa son employé à partir se reposer.


Employé qui se dirigea donc vers la salle en question, non sans avoir auparavant jeté un coup d’œil satisfait sur l’ensemble du café, constatant que son client préféré n’y était plus, sans doute parti pour aller aux toilettes.


Avec un petit sourire en coin il entra dans la salle et enleva son tablier et sa cravate, avant de s’installer confortablement sur le petit lit une place qui se trouvait dans un coin de la pièce, fixant le plafond.


Il ne détourna même pas le regard en entendant la porte s’ouvrir mais il ne put empêcher son sourire de s’élargir quand il entendit le verrou se fermer.


Le « client » s’avança, un sourire de prédateur sur les lèvres, en faisant tomber la veste, puis en desserrant sa cravate. Byakuya ne bougea pas d’un cil, alangui sur son matelas, jusqu’à ce que son client très privilégié grimpe à quatre pattes au dessus de lui, lui offrant une vue imprenable sur son tatouage que la chemise entrouverte laissait apparaître. Il se lécha les lèvres et le rouquin n’y résista pas, faisant disparaître les quelques centimètres qui les séparaient pour dévorer les lèvres fines qui s’entrouvrirent sous la caresse.


Renji répondit à l’invitation et vint découvrir la bouche de son cher serveur plus en profondeur.


Il libera un Byakuya essoufflé, les joues rouges et surtout passablement étonné que sa chemise se soit comme par enchantement ouverte en chemin. Renji profita de ce miracle pour glisser ses mains dans l‘ouverture tandis que ses lèvres se perdaient dans son cou.


Le brun de son coté n’était pas en reste et s’affairait à finir de déboutonner sa chemise pour enfin avoir un aperçu du tatouage dans son entier, malheureusement leur position l’empêchait de bien le voir en entier, aussi il retourna son futur amant pour se retrouver assis à califourchon sur lui.


Il se lécha à nouveau les lèvres et traça du bout des doigts les contours du tatouage, envoyant des vagues de frissons dans le corps de Renji qui commençait à se sentir de plus en plus mal à l’aise dans son pantalon qu’il trouvait étrangement serré.


Quand il eut traversé tout le torse qui s’offrait à ses doigts, le brun se pencha pour refaire avec les lèvres le trajet qu’il venait de tracer avec les doigts.


Renji se mordit les lèvres et se cambra quand il sentit les lèvres brûlantes se poser sur son torse et retracer les arabesques qui couraient là, s’arrêter sur un téton, s’amuser à le faire durcir pour ensuite le mordiller doucement, ce qui le fit sortir de son mutisme et gémir son bonheur, étant très sensible de cet endroit là.


Pendant ce temps, Renji avait détaché les cheveux de son partenaire et fait glisser sa chemise de ses épaules pour ensuite la jeter au sol en compagnie de sa veste.


Ne voulant pas être le seul torse nu, Byakuya souleva quelque peu son futur amant pour lui retirer complètement sa chemise et en profita pour lui détacher les cheveux, l’entourant d’une auréole couleur de sang.


Renji, ayant profité de l’accalmie pour reprendre ses esprits, glissa sournoisement les mains dans le pantalon du brun pour caresser ses fesses, lui arrachant un gémissement auquel il fit écho quand le brun en question se mit à se frotter lascivement contre son bassin, lui faisant sentir son désir douloureusement comprimé dans son pantalon.


Considérant qu’ils étaient tous deux assez serrés comme ça, Byakuya descendit d’un cran pour se retrouver à genoux entre les jambes de sa « victime » et lui déboutonner lentement le pantalon. Renji leva le bassin pour l’aider dans sa tache et bientôt le pantalon se retrouva au sol.


Byakuya observa avec un petit sourire l’objet de toutes ses attentes qui tendait à craquer le tissu du sous-vêtement. Un petit gémissement impatient le tira de sa contemplation pour replonger dans les yeux couleur d’onyx de son cher client qui le suppliait du regard.


Ne pouvant résister à cette supplique il se pencha pour l’embrasser à nouveau avec fougue. Il descendit ensuite s’occuper d’un téton, pour descendre encore et s’arrêter sur le nombril qu’il titilla longuement provoquant force gémissements chez sa victime qui le suppliait de descendre plus bas.


Obéissant, le brun descendit pour lécher tendrement l’intérieur de ses cuisses, mordillant doucement le tissu de son petit boxer.


- Hn…a…arrête de me …aah…torturer…


Un sourire plus que carnassier éclaira les traits du brun qui remonta quelque peu pour pouvoir attraper l’élastique de son sous-vêtement avec les dents et le descendre lentement le long de ses cuisses.


Observant quelques instants l’objet de tous ses désirs, il se mit bientôt à le couvrir de petits baisers enfiévrés et de coups de langue aguicheurs, s’attirant des gémissements de plus en plus forts qui auraient pu se faire entendre de la salle si le brun n’avait pas eu la présence d’esprit de le faire taire en lui glissant deux doigts dans la bouche alors qu’il prenait son membre tout entier en bouche.


Renji, s’il ne pouvait s’exprimer verbalement, se cambrait pour signifier son plaisir sous les attentions que lui prodiguait son serveur préféré.


Bientôt le brun ôta ses doigts des lèvres tentatrices pour en glisser un plus bas, profitant de la diversion, réussie car le rouquin ne se crispa même pas sous l’intrusion.


Au bout de quelques secondes, Renji se rendit tout de même compte de cette présence étrangère car il se mit à onduler du bassin de façon plus que suggestive, incitant son bourreau à bouger ses doigts.


Byakuya, couvrant toujours son désir tendu à bloc de petits baisers papillons, rajouta un doigt, puis un deuxième, et commença à faire de petits va-et-vient qui firent trembler de plaisir celui aux cheveux de sang.


Le sentant dangereusement proche du point de non retour et se sentant lui-même terriblement serré dans son pantalon, il retira ses doigts avant de déboutonner son propre pantalon, libérant sa virilité gorgée de désir, et s’insinua délicatement en lui.


Renji se mordit les lèvres mais ne put retenir plus longtemps un gémissement de plaisir sous l’intrusion.


Le brun, gémissant lui-même son plaisir, se mit à faire de lents va-et-vient dans le corps de son amant qui l’attrapa par les épaules pour l’allonger sur lui et l’embrasser plus que passionnément.


Quelques minutes de ce traitement plus tard, Byakuya les releva tous deux et, assit sur le lit, laissa le rouquin bouger à son propre rythme en lui dévorant le cou de baisers enfiévrés.


Se sentant approcher du point de non-retour, Byakuya glissa une main entre leur deux corps pour caresser le désir du rouquin au même rythme que ses coups de reins.


Leurs mouvements s’intensifièrent et leurs gémissements montèrent crescendo jusqu’à ce qu’ils se libèrent tous deux dans un même hurlement de plaisir.


Ils s’écroulèrent l’un sur l’autre en reprenant leur souffle. Quelques minutes de repos plus tard, leur confortable silence fut interrompu par la sonnerie d’un téléphone.


- Gniallo… ?


- Renji !!! putain mais qu’est ce que tu fous bordel ?!


- Nyé ? Shuuei ? c’est toi ?


- C’est bien, au moins tu me reconnais !! …attend ôte moi d’un doute…pourquoi ta voix me laisse entendre que t’es encore au lit ?


- Euuuuh chaipas…t’arrive à entendre ça à ma voix ?


- T’es levé ?


- Mouais…


- Lavé ?


- Plus ou moins…


- Habillé ?


- Euuuuuuh…presque ?


- Raaah je te tuerais si j’avais pas autant besoin de toi !! tu te rappelle qu’on a un rendez-vous supra important avec un gros client aujourd’hui ?!


- Mais ça va ma poule relaaax, c’est dans…


Le rouquin jeta un œil à sa montre pour vérifier.


- Ah ouais…un quart d’heure…oh bah ça va on a tout le temps.


- Pour te saper et venir de chez toi ?!!


- Mais nan je suis pas chez moi je suis tout près…


- Tout près, mais t’es où ?!


-Au café, juste a coté de la boite…


-Au café ? mais qu’est ce que tu fous là bas ?


- Euuuh…je discute avec un serveur…il est sympa il m’a offert une petite gâterie…


- Hein ?


- Ouais un gâteau pour aller avec le café quoi…


- Ah ok…bon bouge pas je viens te chercher t’as pas l’air dans ton état normal…


- Ok ma poule je t’attend !


Il raccrocha et reposa son portable avec un soupir.


- Bon…va falloir qu’on bouge…euh…je sais toujours pas ton prénom dans l’histoire.


- Byakuya…


- Ouais, enchanté, mais va quand même falloir qu’on bouge, je resterais bien là à te câliner mais je vais encore me faire taper par Shuuei…


- Ok…


Le brun se leva et s’étira longuement avec un petit soupir qui fit se mordre la lèvre à Renji. Il n’y résista pas longtemps et l’attrapa par la nuque pour l’embrasser passionnément et se lever à son tour.


Il se rhabillèrent en quatrième vitesse et retournèrent dans la pièce au moment même où un certain grand brun avec un 69 tatoué sur la joue pénétrait dans le café, l’air passablement énervé.


- Renjiiiiiiiiiii !!!


- Ah ma poule !! ça va bien ?


- Toi un jour je vais pas pouvoir me retenir et je vais te…tiens bonjour…


Le nouveau venu avait bizarrement changé d’expression et avait repris un air de séducteur en regardant le serveur.


Serveur qui avait aussi reprit son air très professionnel agrémenté d’un petit sourire charmeur qu’il ne réservait qu’à ses clients préférés…ceux qui avaient le droit d’entrer dans ses stats…


« Mmh…sympa…pas le temps de tout compter maintenant mais déjà je lui mettrais bien un +153 pour le 69 sur la joue parce que c’est…mmh, quoi…et puis ensuite… »


Il n’eut pas le temps de réfléchir plus longtemps puisque Renji s’était intercalé entre eux deux et jetait un regard plus que noir à son collègue.


- Bon…on y va ou tu reste à tailler le bout de gras ?!


« Et puis ensuite – 1569 pour être arrivé après Renji… »


Shuuei lui rendit son regard sombre et répondit :


- Ok on y va, et rejette pas tout sur moi, c’est pas moi qui reste là pendant des heures !


- J’ai de bonnes raisons…allez go !


Ils partirent tous deux en direction de la porte et Renji sentit distinctement en partant une main se poser sur ses fesses.


Il se retourna pour voir son cher serveur lui faire un clin d’œil et un petit sourire.


Avec un grand sourire il partit en prenant son ami par l’épaule et lui raconter des âneries sous les soupirs désespérés de l’ami en question.


Quelques mètres plus loin son portable sonna et il lut le message qu’il venait de recevoir :


Merci pour le petit moment de détente, la prochaine fois je te l’offre ta petite gâterie… ;)


Un grand sourire éclaira ses traits et étonna quelque peu son collègue.


-S’passe quoi ?


-Nan rien, juste que faudra penser à m’appeler plus souvent pour me prévenir des rendez-vous…


FIN


et voilà, enfin finite !!!


et ben punaise ça m’en aura pris du temps…alors pour me réconforter vous avez le droit de mettre une loooooooongue review…


ja ne, minna !!