Auteur: Seddy
Disclaimer: veux Ed TT veux Roy... /pleure sur Al/ mais je les ai pas... mais les lit et les caméra (environ 50 '''') sont à moi...
Genre: Romance humour Roy/Ed - yaoi n.n
Note: ma première fic sur FMA sa se fête nan/sors la bouteille de champagne/ hé hé /bois un verre sec/ aaaaaah... c'est acide . bon soyez indulgent siyouplaît n.n
Note2: 'blablabla' penser
"blablabla" parole
Recueil de RoyEd : Encore une fois
Ed se promenait dans la rue sans but précis.
Il s'était dit que se promener vers 2 heure du mat' quand on n'avait pas sommeil sa pouvait pas faire de mal...
Mais il n'avait toujours pas sommeil...
Il tourna dans une rue, puis une autre, jusqu'à se perdre...
'Et merdeeeeee...'
Il tourna la tête dans tous les sens, espérant pouvoir se repérer, mais malheureusement n'y arriva pas et ne sut finalement, même pas de quel chemin il venait...
Il bailla.
'TT pourquoi sa arrive qu'à moi se genre de chose!'
Il se lamenta pendant dix bonne minutes, en allant toujours tous droit... Quand tout d'un coups il heurta quelqu'un. Et cette personne n'était personne d'autre que...
"Colonel Mustang?"
...Roy Mustang apparemment soûl...
"Fullmetal? hip hip... qu'est-ce que tu fous là?"
On pouvait maintenant voir une énorme goutte d'eau sur l'arrière de la tête d'Edward, qui répondit:
"Heu... je me promène parce que j'arrivais pas à dormir... et vous?
-J'suis aller dans un p'tit bar pour boire un p'tit verre... hip hiip..."
'Plutôt quatre ou cinq...' se dit Ed en voyant l'état de son Colonel...
"Ah, heuu... et pourquoi vous vous êtes soûlé? demanda le blond.
-Paceke j'pourrais jamais avoir l'objet de mes désires dans mon lit... hip hip"
Ed, en plus d'avoir une grosse goutte d'eau sur le crâne, eu une belle tinte rouge sur les joues.
'Bon... je vais faire ma bonne action du jour...'
"Heu vous voulez que je vous raccompagne chez vous Colonel?
-J'veux bien..."
Gros bleme pour Ed, il ne savait pas où habitait Mustang... donc il suivit son Colonel, le surveillant quand même...
Quand ils arrivèrent à la demeure du plus âgé, il commença à grêler...
'C'est bien m'a veine...' pensa le plus petit. (Ed: ... JE SUIS AS PETIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIT/frappe l'auteuse/)
Le Colonel, encore un peu sous l'influence de l'alcool qu'il avait ingurgité, proposa à Edward de rentrer chez lui, et celui-ci accepta avec plaisir.
"Tu veux quelque chose Fullmetal? demanda Mustang apparemment "désoûlé".
-Non merci. heu... Et vous?"
Il réfléchis une seconde et dit:
"Oui... Ce que je veux, c'est toi!"
Il sauta sur le blond en l'embrassant.
Edward mit deux secondes à comprendre ce qu'il lui arrivait.
Il ouvrit la bouche pour protester mais, la langue de son Colonel en profita pour s'introduire entre ses lèvres.
Le blond sentit la langue de Mustang toucher la sienne délicatement, et se laissa aller à cette caresse, des plus appréciables.
Le brun détacha ses lèvres des siennes, et reprit sa respiration en le regardant.
Le blond dit en haletant:
"En fait je veux quelque chose!
-Ah? quoi?
-Vous..."
Ed sauta sur son aîné et l'embrassa à son tour.
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Le lendemain matin, Ed se réveilla, confortablement installer sur le torse de Roy, dans son lit.
Il releva légèrement la tête pour voir si son amant était réveiller.
Puis il remarqua que le brun avait ses yeux fixer sur lui.
Ce qui fit qu'il rougit à pleine vitesse.
"Puis-je savoir ce que tu fais dans mon lit Edward?
-Vous vous souvenez de rien Colonel?"
'Quand je vous dit que j'ai pas de chance?'
"De quoi devrais-je me souvenir?"
Edward soupira.
"Vous m'avez fait l'amour hier soir, et vous étiez soul..."
Les lèvres du Colonel formèrent un sourire pervers, et ses yeux se mirent à briller, tout en regardant le blond.
Le jeune homme se recula légèrement en voyant le regard que l'homme lui lançait.
"Pour... Pourquoi vous me regardez comme ça?" demanda t'il légèrement inquiet.
Le brun se rapprocha doucement du plus jeune et l'allongea sur le lit.
"Parce que... je suis content de t'avoir dans mon lit..." répondit il en embrassant Edward.
Roy Mustang travaillait avec une mine fatiguer dans son bureau.
Il s'ennuyait. Plus personne à vanner. Surtout depuis que le Fullmetal avait démissionné après avoir retrouvé son corps et celui de son frère.
Donc plus personne à traiter de nabot... et plus de nabot à matter...
Il regarda sa montre. 21H05. Une bonne heure pour aller dans sa boite de strip tease gay préféré...
En plus, il connaissait personnellement le directeur de la boite, et celui-ci se débrouillait pour engager des blonds de taille moyenne. Ce qui voulait dire, aucun.
Il n'y avait pas deux blond qui mesurait 1m60.. Il n'y en avait qu'un... et c'était bien Edward Elric...
Roy se leva de sa chaise et alla se changer dans les toilettes. Si on le reconnaissait, sa réputation de disant qu'il était un homme à femme partirait en cendre, comme du papier dans du feu...
Une fois habillé en civile, il partit de la base et alla vers des quartiers plutôt mal fréquenter de la ville et entra dans un bâtiment.
Il alla s'asseoir au bar, et un homme plutôt bien habillé vînt à sa rencontre.
"Bonjour Roy! Sa va aujourd'hui?
-Pas trop... j'm'ennuie à mort...
-Allons... j'ai un petit remontant pour toi!
-Quel genre de remontant?
-Disons, jeune blond de taille moyenne?"
Les yeux du colonel s'illuminèrent.
"T'en a trouvé un?
-Il cherchait du travaille parce qu'il est fauché!
-Où est-il?
-Dans sa loge! tu veux que je lui demande de te faire une danse?
-Huum... je veux bien... mais une seule question! combien il mesure exactement?
-Il mesure 1m60! je viendrai te chercher quand il sera prêt!
-Merci!"
L'homme partit par une porte au fond de la salle.
Roy regarda les jeunes hommes défiler sur la scène, se déhanchant sur la musique endiablé. Qu'est-ce qu'il aimerait voir l'ancien Fullmetal faire ça...
Un jeune homme blond attira son regard. Il devait mesurer 1m70 trop grand pour lui... il préférait les petits blond. Le jeune homme commença à retirer son tee-shirt et se caressa sensuellement le torse.
"Roy! il est près!
-D'accord! c'est où?
-Au fond à droite."
L'homme se leva et se dirigea vers l'endroit indiqué et rentra dans une petite pièce, où il s'assit sur un petit canapé.
Il attendit quelques minutes et un jeune homme, habillé d'un débardeur noir moulant et d'un pantalon tout aussi moulant que son haut, et tout ça en cuir, entra.
"Colonel ?
-Bonsoir... Edward..." sourit-il en se léchant les lèvres avec un air légèrement pervers.
0oo0
Edward respira un bon coup.
Son patron voulait qu'il danse pour son ancien supérieur.
Ancien supérieur, pour lequel il fantasmait depuis un bon moment...
Roy se leva et donna une petite bourse au garçon.
"Tiens! prend ça... "
Ed attrapa la bourse et la posa sur la table.
"Vous voulez que je fasse quoi colonel?
-Ne m'appelle pas 'Colonel' tu n'es plus sous mes ordres... donc je veux que tu me fasses la totale...
-Comment ça 'la totale' ?
-Danse, strip... en fait, fait tout ce que tu connais...
-Très bien, M. Mustang!"
Le blond alluma la musique.
C'était une musique sensuelle. ('Outrageous' de Britney Spears)
Edward commença à bouger les hanches sur le rythme de la musique. Il se rapprocha du brun, toujours en bougeant ses hanches sensuellement.
Il lui prit les mains et le leva. Il colla son dos à son torse et mit ses mains derrière sa tête et commença à se frotter à lui tel un chat en chaleur.
Il se détacha de lui et enleva lentement son débardeur et le jeta sur le côter.
Roy sentit son pantalon se serrer à la vue du torse finement musclé, et à se corps sensuelle qui se frottait contre le siens.
Il ne savais pas combien de temps il pourrait se retenir de ne pas se jeter sur ce petit démon.
Ed s'éloigna une fois encore de l'homme et commença à défaire son pantalon et laissa apparaître ses cuisses musclé et ferme.
Il posa ses mains sur l'élastique de son boxer moulant et le fit descendre lentement, toujours sur le rythme de la musique endiablé.
Roy sentit sa respiration s'accélérer face à la beauté devant lui.
Il ne pouvait plus tenir. Il s'approcha à grand pas d'Edward et le colla à lui aussi sec. Il prit sa bouche dans un fougueux baiser, auquel le jeune répondit avec énergie.
Le brun prit le blond dans ses bras et l'allongea sur la canapé. Le blond en question, commença à enlever les vêtements de son aîné en suivant le rythme de la musique.
Roy lécha trois de ses doigts, et fit entrer un doigt en Ed.
"Sa va...? demanda le plus âgé.
-Oui... continuez...
-À tes ordres...
Un deuxième doigt vînt rejoindre le premier et ils commencèrent à étirer les muscles de l'intimité de plus jeune.
Il le sentit se crisper. Il attrapa sa virilité et la caressa à rythme lent.
Quand Ed fut complètement détendu, il retira ses doigts, et le pénétra doucement.
Le blond se mit à gémir doucement et crispa ses doigts sur le canapé.
Le colonel se mit à bouger à rythme lent.
Bientôt la musique s'arrêta, et on n'entendit plus que les gémissements étouffé par les deux hommes.
Puis, dans de long râle de plaisir, ils se libérèrent et s'écroulèrent dans les bras l'un de l'autre.
Roy embrassa une dernière fois son jeune amant, il se rhabilla et le rhabilla, il alla dans sa loge et l'y allongea et se mit à ses cotés.
Il lui souffla:
"Je t'aime Edward...
-Moi aussi... je vous aimes colonel... depuis si longtemps..."
Ils se sourirent et se laissèrent entraîner par le sommeil.
OoO
Roy Mustang est un homme occupé.
Oui. Très occupé.
Mais Roy Mustang à vraiment de drôle d’occupation.
Il ne fait jamais rien de sa journée, et fait ses devoirs militaires à la dernière minute en se plaignant. Mais il y avait quelque chose qu’il adorait faire. Oui, le colonel Roy Mustang adorait embêter le Fullmetal Alchemist.
C’était son hobby ! son passe-temps, auquel il aimerait justement passé tout son temps, parce qu’embêté Edward Elric était quelque chose de particulièrement amusant, car Edward Elric s’énervait vraiment pour rien.
Et justement, après deux semaines d’ennui, de silence, enfin bref, deux semaines sans avoir a taquiné le plus petit alchimiste qui soit, dans les deux termes, celui-ci revenait de voyage avec son frère Alphonse, et il pourrait encore une fois taquiné la razmote parce qu’il reviendrait bredouille, comme d’habitude. Et une fois encore, il se ferait une joie de l’allumer pour que celui-ci explose de fureur.
Et comme d’habitude, il lui criera dessus en sortant son éternel « Qui est si petit qu’il se ferait écrasé comme une punaise ? » et Roy se fera un plaisir de dire avec un air sadique « Toi ». Et Edward Elric péterait encore une fois un câble, et détruirait une fois de plus la porte de son bureau en pestant contre lui.
Et à ce moment-là, Roy Mustang pourra dire qu’il se serra bien amusé.
Puis le soir arriverait et le colonel irait dans ses appartements, où il demanderait au Fullmetal de venir avec lui, et une fois encore ils se sauteraient dessus, en disant que ça fait trop longtemps qu’ils ne se sont pas vus, et Roy Mustang pourra dire qu’il est vraiment fatigué.
OoO
« Ed ? sa va ?
-Sa va frangin ! te fait pas de bile pour rien !
-Mais… Le colonel ne va pas être content ! »
« Je risque rien, t’inquiète pas ! » pensa Edward Elric en regardant l’armure qui lui servait de frère.
« T’en fait pas !
-Mais on a presque détruit la ville !
-C’était pas de notre faute si y avait plein de chimère partout ! il fallait bien se défendre ! »
Alphonse Elric, malgré son armure qui cachait ses sentiments, ne s’emblait pas vraiment convaincu par son grand frère, et s’en faisait vraiment beaucoup pour lui, ne connaissant pas sa liaison avec le colonel. Ce qu’Ed cachait désespérément à son petit frère, car il trouvait quand même cela gênant de couché avec son supérieur, depuis plus d’un an, sans que personne ne le sache.
Le train s’arrêta, disant clairement qu’ils étaient arrivé à la cité de l’est.
« On y est…
-Ouai… »
Et à leur grand malheur, Louis Alex Armstrong était là pour les accueillir, mode petites étoiles roses autour de lui, pleurant, encore une fois.
« Oh Edward Elric ! vous n’avez pas été blessé !
-Pourquoi vous dites ça ?
-Mais voyons ! tout le monde c’est que la ville où vous avez a été à moitié détruite à cause de ces chimères ! »
Un bon point pour lui. Personne ne savait que c’était lui qui avait libéré les chimères, qui ont détruit la ville, avec l’aide du pas célèbre du tout Envy ! Mais son colonel chéri ne serait sans doute pas dupe, et le punirait comme il se doit… Cet à dire qu’il se vengerait ce soir, et il connaissait assez ses goûts assez… Hum hum… Étrange…
« À tous les coups il va sortir les menottes… » Pensa l’aîné.
Oui, car Roy Mustang aimait encore plus punir Edward Elric quand celui-ci détruisait la région dans laquelle il se trouvait. Il sortait des cravaches, des menottes, et d’autre objet encore moins catholique que nous ne citerons pas à cause des âmes sensible que cela pourrait choqué…
Ils arrivèrent au QG de l’est, et pendant tout le ‘voyage’ de entre la gare et au QG, Edward avait de plus en plus peur et redoutait horriblement le soir, quand il ferait ses retrouvailles avec le colonel… Ça allait tourner mal pour lui…
« Bonjour les frères Elric.
-Bonjour colonel » dirent les deux frères en même temps.
Roy Mustang à ce moment-là avait l’air assez en colère, et avait l’air aussi d’avoir fait le lien entre lui et les chimères… Mauvais point pour Ed…
« Pourrais-tu me laisser avec Edward, Alphonse ? il te rejoindra plus tard.
-Oui colonel ! »
Alphonse sortit sous les yeux suppliant d’Edward qui ne voulait pas rester seul en présence de son amant.
« Heuu… Ça faisait longtemps Roy ! »
Vu la tête que faisait l’adulte, Edward su qu’il allait passer un salle quart d’heure…
« Edward…
-Oui ? dit-il d’une petite voix.
-Pourrais-tu, pour une fois, essayer de ne pas faire de dégât pour où tu passes ? tu nous coûtes cher tu sais !
-Mais c’est pas de ma faute si ce palmier fou veut ma peau !
-Palmier fou ?
-Oui ! l’homonculus dont je t’ai parlé ! celui qui change de forme à volonté !
-Oh… Mais la prochaine fois essaye de faire moins de dégât, s’il te plaît ! »
Roy contourna son bureau et vint enlacer le Fullmetal.
« N’empêche que tu m’as sacrément manqué, mon petit…
-Ah nan ! tu casses tout là ! dit Ed en s’éloignant, je te parle plus ! j’te fais la gueule ! »
Le colonel soupira.
« Ed… »
Il l’enlaça à nouveau, rajoutant cette fois de petits bisous dans le cou toujours à porté de lèvre.
« Tu vas pas me faire ça…
-Mais si ! »
Edward s’éloigna encore, laissant son amant mijoter dans son désir.
« Tu devras attendre ce soir ! le temps que je te pardonne ! parce que j’ai pas finit de grandir ! espèce de perche ! »
Il partit en courant, claquant la porte, allant rejoindre son petit frère chéri. Roy s’assit à son bureau en soupirant et se remit à signer des papiers, tout en pensant à ce qu’il allait faire subir au Fullmetal pour ce qu’il avait osé lui faire.
Car on ne laisse pas Roy Mustang comme ça, sans que celui-ci se venge d’une façon ou d’une autre !
Le soir arriva bien trop vite aux yeux d’Edward, alors qu’aux yeux de notre colonel préféré, cette soirée tellement attendue était arrivé trop lentement.
Ed entra craintivement dans les appartements de son amant. Il n’avait pas envie de savoir ce qu’il lui réservait pour avoir osé le laissé en plan.
« Edward… »
Le jeune homme se retourna et vit Roy contre la porte maintenant fermée à clef. Il pu voir aussi une paire de menotte dans l’une des mains de son supérieur.
« Roy… ? »
Avant qu’il n’ait pu dire un mot de plus, l’alchimiste de flamme l’avait projeté sur le lit et l’avait attaché au lit de derrière avec les menottes qu’il tenait.
« Tu vas me le payer Ed…
-S’il te plaît Roy… Détache- moi !
-Il ne me plaît pas Edward… »
Le dit Edward avala difficilement sa salive, alors que notre autre alchimiste déchirait le haut de son jeune amant, en sachant que celui-ci pourrait le réparer à l’aide de son alchimie. La langue de l’aîné commença à parcourir le torse musclé de son cadet, allant le plus lentement possible pour que celui-ci soit justement très frustré ! et à l’entente des gémissements que poussait le jeune homme, le colonel avait bien réussi son coup !
« Roooy ! »
OoO
Deux personnes étaient assises devant un écran. L’une des personnes était blonde, et l’autre avait une armure.
« C’est le moment de vérité Alphonse !
-Après vous lieutenant ! »
La femme alluma l’écran.
« Roooy ! »
Alphonse soupira de déception.
« J’ai perdu mon pari lieutenant Hawkaye…
-Oui ! le colonel à bien utiliser des menottes ! »
Eh oui… Car même si nos deux tourtereaux pensaient que leur couple était secret, nos deux voyeurs s’amusaient pas mal à les observer et à faire des paris sur leur petite retrouvaille… Et c’était souvent que le lieutenant qui gagnait ! au grand dam du porte-monnaie d’Alphonse !
« La prochaine fois c’est moi qui gagnerais ! » fit une troisième voix venant de derrière.
Alphonse se poussa, laissant de la place entre lui et le lieutenant.
« Vous dites toujours ça Envy !
-Oui ! mais au final, c’est toujours vous qui gagnez lieutenant ! »
Et les trois compères partirent dans un long fou rire…
FIN