Cinderella Storie.
Auteur : Yunalesca
Couple : 01x02
Genre
: Conte de fée ?
***
Chapitre 1 : Présentation
***
Il était une fois un jeune garçon
qui vivait heureux avec ses parents jusqu’au jour où la
mère de ce dernier tomba malade et mourut. Le mari, au bout de
quelque année, voulut comblé le manque que sa femme
avait laissé dans sa vie. Il prit donc une autre épouse
qui, il espérait serait une bonne mère pour son
fils.
Celui-ci depuis la disparition de sa mère s’était
refermé sur lui-même. D’un naturel indépendant,
on ne lui connaissait aucun ami à part son chat.
Malheureusement pour lui son père tomba a son tour malade et
sa belle-mère montra vite sa vraie nature. Elle était
hypocrite, méchante et gâter injustement ses 2 filles du
même age que lui à son détriment.
Elle
obligeait le pauvre garçon à faire toutes les taches
ménagères même les plus humiliantes. Il était
habillé de haillon et mangeait dans la cuisine.
Aujourd’hui
Heero, car tel était son nom, était sorti dans le petit
village pour allé au marché faire quelque courses.
C’est la qu’il apprit que le lendemain aurait lieu au
château du Roi une immense réception à l’issue
de laquelle le Prince Duo qui fêtait ses 19 ans ( soit 2ans de
plus que Heero ) choisirait la personne qui partagerait sa
vie.
Heero poussa un soupir, il n’avait Duo qu’une
fois mais il s’en souvenait très bien. Il avait été
marquer par l’image qu’il eu de lui. En effet le jeune
prince avait quelque particularité qui le rendait inoubliable,
par quoi commencé ? Ses yeux ? Ils étaient de couleur
améthyste, ensorcelant. Ses cheveux ? De couleur miel, assez
longs qui arrivaient aux creux des reins, avec quelques courtes
mèches folles. Le plus souvent attaché en une
tresse.
Quelques fois Heero pensait à lui pendant la
nuit, il savait qu’il n’aurait pas du avoir de telle
pensé envers lui surtout qu’il ne se connaissait pas. Il
aurait bien voulu allé au bal mais il n’y avait aucune
chance. Il soupira de nouveau et se mis en route pour rentrer.
De
retour chez « lui » il entendit les filles de sa belle
mère glousser et crier en parlant du bal. Il s’approcha
de leurs chambres pour se renseigner :
H : Vous êtes
invité au bal ?
Javotte : Oui, mais ne rêve pas
tu ne pourras jamais y allé !
Anastasie: Ne te fais pas
d’illusion, jamais il ne laisseront quelqu’un comme toi
entrer au château !
Javotte : Peut être en tant
que souillon.
Heero baissa la tête et alla dans sa «
chambre », si on pouvait appelé ça une chambre.
Petit débarras de quelque mètre carré pourvu
d’un lit simple inconfortable, une chaise et une étagère
rudimentaire. Les murs était gris ainsi que les draps. Il
regretté l’époque où sa mère était
encore là…
***Chapitre 2 : La marraine la fée***
Le moment de partir à la fête arriva très
vite. La belle-mère d’Heero ne lui avait pas interdit
d’allé à la fête, elle avait rigolé
et haussé les épaules. Seulement Heero n’avait
rien a se mettre et ses sœurs avait refusé de lui prêtés
quoique ce soit.
A l’instant tant attendu, Heero avait
finalement passer quelque chose de correcte mais on voyait qu’il
était issu de milieu pauvre, ce qui n’était pas
le cas normalement mais sa belle-mère avait pris tout
l’argent. Seulement alors qu’il allait partir la marâtre
lui dit :
Belle Mère : Avant d’aller au bal je
veut que tu nettoie la cheminée.
H : Mais …
Belle
Mère : Il n’y a pas de mais, tu nettoie la cheminée
et comme je n’ai pas de temps a perdre tu te débrouilleras
si tu veux aller au bal.
Sur ce elles partirent laissant Heero
seul à sa tache. Une fois qu’il eu fini, il regarda ses
habits qui était tout sales. Les larmes lui montèrent
aux yeux, il ne pourrait jamais allé à la fête
surtout dans cet état.
Il sortis dehors et s’assit
sur une pierre à coté de la mare du jardin. C’était
l’endroit préféré de sa mère quand
elle était encore en vie. Là, il laissa s’exprimé
sa peine et pleura. Lentement une lumière bleue, douce s’éleva
de l’étang et une femme d’age avancé
apparue. Les cheveux grisonnants, quelques rides sur le visage, tout
habillé de bleue avec un chapeau assez ridicule il faut dire
et présentant quelques symptôme de l’embonpoint.
Elle
considéra le jeune garçon devant elle un moment, les
cheveux fous en bataille de couleur foncé, des yeux bleus
colbats, un visage innocents on aurait pu croire à un visage
de jeune fille si il n’y avait pas le reste du corps, musclé
et aux reflets cuivré.
Mais le jeune garçon
prostré sur lui-même donné une image de lui
vulnérable et fragile. La vielle dame s’approcha
doucement de lui et lui posa délicatement une main sur
l’épaule. Le jeune homme sursauta et la regarda
déconcerté.
H : Qui êtes vous ?
La
femme : Je suis ta marraine la bonne fée.
H : Une fée
?
La marraine : Oui, je suis là parce que tu m’as
appelé inconsciemment. Alors que puis je faire pour toi ?
Pourquoi pleure tu ?
Heero rougit : Je voulais allé au
bal pour voir le prince. Mais je n’ai aucun moyen d’y
allé et de toute façon je n’ai rien à me
mettre.
La marraine parut embarrassé : Je peux te donné
un moyen de transport mais pour les habits j’ai un problème.
H
: Lequel ?
La marraine : C'est-à-dire que…
Disons que je ne connais aucune formule pour habillé un garçon
par contre je peut t’habillé en fille.
Heero qui
faisait maintenant concurrence aux tomates les plus mures du royaume
ne sut que répondre. Il bafouilla quelque chose
d'incompréhensible avant de se taire et de baisser la
tête.
Finalement il demanda : C’est la seule
solution ?
La marraine : Je crains que oui où alors tu
devras te trouver d’autres habits, alors qu’en pense tu
?
Heero releva la tête : Je veux le voir ! Même si
pour ça je dois me travestir.
La marraine : Il y a une
condition, tu doit être revenu avant minuit car quand sonnera
les derniers des 12 coups de minuit l’enchantement disparaîtra.
A tu compris ?
H : Oui !
D’un coup de baguette
magique la bonne fée transforma une citrouille en une
magnifique calèche. Elle se tourna enfin vers Heero et récita
une formule. Les vieux vêtements sale de Heero se
transformèrent en une magnifique robe blanche où était
cousue quelques perles.
Des gants blancs et un diadème
vinrent se rajouté, mais à la tiare était
accroché une fausse chevelure brune ondulé. A l’oreille
droite se trouvait une longue boucle d’oreille en argent où
une lune était accroché au bout, à la gauche
brillait une perle en argent. A la main droite sur le gant se
trouvait une chaîne faisant plusieurs fois le tour du poignet.
Et son cou, était suspendu un collier avec un pendentif
assorti aux boucles.
H : Heu … je n’ai pas de
chaussure.
La marraine : Attend un peu !
A ses pieds
apparurent de charmantes chaussures en verre aux reflets argentés.
Heero monta dans la calèche et partit en direction du château.
***Chapitre 3 : La fête***
Heero entra dans la salle
où avait lieu la réception. Là tout les yeux se
tournèrent vers lui, le dévisagent, il en fut très
gêné. Dans un coin il aperçut le prince Duo qui
avait l’air de s’ennuyé. Celui-ci, surpris que
tout le monde se tourna vers l’entré, pivota à
son tour et vit la jeune fille d’une très grande beauté
et surtout mal à l’aise de tout ses regards.
Il
se leva et se dirigea vers elle, il ne la connaissait pas et elle
avait l’air différente de toute ses groupies qui
n’arrêtaient pas de le coller. Une fois à sa
hauteur le jeune prince se pencha et murmura à l’oreille
de la demoiselle :
D : Voulez vous m’accorder cette
danse ?
La principale concerné rougit et acquiesça
de la tête. Duo sourit de l’évidente timidité
de la jeune fille. Ils valsèrent quelques temps. Le prince
n’avait d’yeux que pour elle et n’accepta aucune
danse des autres prétendantes.
D : Vous voulez bien
m’accompagner prendre l’air ?
H : Je… Oui
avec plaisir.
Duo prit par le bras la fausse jeune fille, et
l’emmena se promener dans les jardins du palais. La pleine lune
brillait dans le ciel étoilé, donnant des éclats
argentés à la robe rendant Heero presque féerique.
Duo en fut éblouis, il se courba vers Heero et doucement il
effleura les lèvres de la fille. Ce fut qu’un frôlement
mais la sensation fut violente. Déjà Duo enhardi par ce
contact renouvela l’opération mais il fut arrêté
à mi-chemin.
H : Non ! Arrête !
D :
Pourquoi ?
H Tu ne sait pas qui je suis, tu sera déçu.
D
: Ca m’étonnerait.
H : Arrête, tu ne sait
rien de moi.
D : Apprend moi !
H : Je ne peux pas !
D
: Alors laisse moi t’embrasser. Non tu n’as rien a dire,
tant que tu ne me donnera pas des arguments plus convainquant !
Là,
Duo se re pencha et captura les lèvres d’Heero dans les
siennes. Celui-ci essaya de protesté mais Duo le fit taire.
Entre ses lèvres, le prince s’amusa à prendre
tour à tour la lèvres inférieur puis supérieur
de la fille. Heero se cambra et gémit, nouant ses bras
derrière le cou du futur roi. La fièvre monta vite. Duo
colla Heero contre le mur et sa bouche dévia, embrassant sa
mâchoire. Léchant, mordillant son cou. Remontant jusqu'à
l’oreille qu’il lécha dans sa longueur avant de
lui sucé le lobe.
Soudain les cloches de l’église
commencèrent à sonné les 12 coups de minuits.
Pris de panique il repoussa Duo qui ne s’y attendait pas et
commença à courir et descendre les escaliers Duo à
sa suite.
D : Eh ! Attend ! Où tu vas ?
Heero
trébucha et perdit une de ses chaussures. Mais il réussi
à prendre la fuite. Au moment où il s’engageait
dans la foret ses vêtements disparurent laissant à leurs
place ses loques habituels. Au même moments Duo ramassé
une pantoufle de verre sur une des marches.
Quelques larmes
coulèrent tandis qu’il rentrait chez lui. Il se coucha
directement, faisant des rêves assez torrides où se
trouvait son prince. Sa belle-mère rentra 1 heure plus tard.
Le prince n’était pas réapparu et le bal s’était
terminé assez tôt.
***Chapitre 4 : La pantoufle de verre***
Le lendemain parut un
décret signifiant que chaque femme du royaume devrait essayé
la pantoufle de verre. Quelques jours plus tard le prince arriva chez
Heero où sa belle-mère et ses deux filles essayèrent
la pantoufle., elles insistèrent mais aucune ne rentra dedans.
En sortant les regards de Duo et Heero se croisèrent, Heero
détourna le regard tandis que Duo s’attarda un moment
avant de partir.
Il eu beau faire essayé la pantoufle à
toute les femmes, de la plus riche à la plus pauvre, de la
plus vielle à la plus jeune, personne ne put la mettre.
Le
prince commença alors à déprimer. Ses parents
s’inquiétèrent et firent venir un conseillé,
le plus sage de tout le royaume.
Conseillé : Mon prince
que vous arrive t’il ?
D : Pendant le bal j’ai
rencontré quelqu’un d’extraordinaire, je …
je suis tombé amoureux d’elle mais … elle est
partit d’un coup… tout se passait bien pourtant. Elle a
perdu une chaussure. Je l’ai faite essayer à toute les
fille du royaume mais pas une n’arrive à la mettre ! Je
ne sait plus quoi faire pour la retrouvé !
Conseillé
: Vous savez que beaucoup de fille sont attiré par vous ?
D
: Oui
Conseillé : Savez vous que certains garçons
sont aussi dans ce cas là ?
Duo un peu rouge : Heu …
vous voulez dire que ça pourrait être un mec déguisé
en fille ? Quand j’y pense c’est tout à fait
plausible.
Conseillé : Et ? Que décidé
vous ?
D : Je vais faire essayé la chaussure à
tout les hommes du royaume.
Conseillé : Et que
déciderait vous si vous le trouvé ?
D : Je
l’aime ! Et je suis sur que lui (?) aussi. Si je le trouve, je
le garde !
Le prince refis le tour du royaume, pour le moment
aucun n’avait réussi à enfilé la précieuse
chaussure. C’est désespéré que le prince
revient pour la 2ème fois chez Heero.
Belle Mère
: Mon prince ! Que me vaut le plaisir de votre visite ?
D :
J’ai vu un jeune garçon chez vous la dernière
fois. Vous n’êtes pas sans savoir que je fais essayé
la pantoufle à tout les hommes ?
Belle Mère :
Oui … mais… ce n’est sûrement pas Heero que
vous avez vu. Hahahaha C’est ridicule de penser ça.
D
: Je voudrai m’en assuré vous n’y voyait pas
d’inconvénient ?
Belle Mère : Bien sur que
non !
Duo entra et l’on fit appelé Heero. Duo fut
hypnotisé par le regard de celui-ci. Intérieurement, il
espérait que ce fut lui. Il lui tendit la chaussure et Heero
rougit, ce qui le fit sourire.
D : Essaie !
Heero
s’assit et se déchaussa. Lentement il essaya la
chaussure qui sous le regard médusé de sa «
famille » lui allait parfaitement. Duo s’approcha et
souleva le visage d’Heero par le menton puis doucement il
abaissa son visage vers Heero et posa ses lèvres sur les
siennes.
H : Prince …
D : Appelle moi Duo,
d’accord ?
H : Oui.
D : Tu veux bien venir
habiter au château avec moi ?
Heero sourit et timidement
embrassa Duo. D’abord maladroitement puis avec plus
d’assurance. Finalement ils se relevèrent et Duo conduit
son nouvel amant vers sa futur maison, où ils vécurent
heureux mais n’eurent pas d’enfants.
Owari
Yunalesca