Note de l’auteur : Tout d’abord merci pour vos gentil commentaire il mon fais tres plaisir et je suis contente que ma fic vous plaise



Chapitre 11



Elisabeth



N’empeche je stresse un peu je sais pas comment elle et cette Elisabeth, je me surprend a penser quelle et un peu comme les femmes que mon père ramener le soir. Il croyait que je ne le savais pas, mais je ne suis pas un idiot. Bref, donc les femmes qui ramener était belle certes mais de vrai vipère, elle était avec mon père juste pour son argent. Puis elles étaient trop superficielles a mon goût.

Le faite et que maintenant on est dans la cour de la maison on s’apprête a partir, le trajet na durée qu’une demi heure mais j’ai pas arrêter de me faire des idées. Nous voilà arriver enfin, et la je tombe sur la maison la plus bizarre que j’ai jamais vue. L’allée et orné d’un énorme jardin qui j’avoue et magnifique mais y a un truc qui casse tout. Les haies. Elles on des formes délirantes, des cœurs, des animaux, et meme des chose que je n’arrive pas a identifier. Passer l’allée Chel me conduit jusqu'à la grande porte et là pire une fontaine qui représente deux hommes entrain de…enfin il on l’air de bien s’amuser. Et moi je suis tétaniser. Et la maison elle et grande rose avec des rosier grimpant, il fallait me dire que l’enfer ressembler a ça.

Chel !

Je sais Alex, je déteste aussi cette maison.

Mais elle est affreuse !

Oui, je sais.

Et la fontaine, mon dieu je suis en enfer.

Non Alex pas encore.

Sur le moment je n’ai pas comprit le sens de sa réponse, c’est quand j’ai entendu une voix qui venait de derrière la porte, que sa réponse pris tout son sens.

Chel mon amour tu ma tellement manquer ! Je n’ai meme pas eu le temps de réagir qu’une tornade blond me bouscule pour se jeter dans les bras de Chel. Mais y a pas que ça, elle la appelé mon amour.

Elisabeth tu va finir par m’étouffer.

Désolé mon Chel d’amour, mais je suis si heureuse de te revoir.

Oui moi aussi.

Hum…hum…Je suis pas transparent, et elle commence déjà a me taper sur les nerf.

Oh mon dieu Chel d’amour voilà ton calice, il est très mignon. Enchanter je suis Elisabeth !

Elle me tend la main tout heureuse de vivre, et moi je la regarde comme si j’allais la tuer, je c’est pas pourquoi je réagi comme cela, ce n’est pas dans mon caractère. Donc pour faire bonne figure je me fabrique un beau sourire et lui serre la main, pour le baise main elle peu courir.

Enchanter mademoiselle !

Oh non ! appelle moi Elisabeth. Bon nous allons pas rester sur le palier, le salon sera plus confortable.

Ni une ni deux elle prend Chel par le bras et l’emmène a l’intérieur en me laissant sur le palier. Mais je rêve, calme toi Alex rentre et fait toi discret. Donc je les suis et me retrouve dans un hall tout aussi moche que l’extérieur, rose avec des fleur des tableau de petit chat. Et sa sens la lavande, j’ai horreur de la lavande. Oubliant cela je jette un coup d’œil a Chel qui discute de je ne sais quoi avec elle, sa a l’air passionnant. Et la il se passe la chose la plus dingue du monde elle ose mettre la main sur les fesses de Chel, et lui il dit rien. Je n’ai jamais vraiment était jaloux, mais la sa me tord le ventre et me donne le tournis, Chel a du le sentir car il stop sa discussion et se tourne vers moi.

Sa va Alex ?

heu…je voudrais aller me rafraîchir, s’il vous plait.

Bien sur ! Nike montre le chemin au jeune homme.

Mais…Je n’écoute pas se que veux me dire Chel, je suis Nike le major d’homme. Je me contrefiche des couloir des tableau il faut que je me rafraîchisse, arriver dans la salle de bain l’eau fraîche me fait un bien fou. Pourquoi sa ma fait ça, c’est pas comme si je connaissais Chel depuis très longtemps, mais la c’était horrible j’ai eu tellement mal. Zen Alex, descend et fait celui qui et heureux. Je m’apprête a sortir de la sale de bain quand quelque chose retiens mon attention, sur le fond de la baignoire le carrelage représente des hommes(encore lol) entrain de faire des chose comme pour la fontaine. La j’en peu plus je veux partir, cette femme et une obsédée. Nike me conduis au salon, Chel et sur le canapé et Elisabeth et debout et parle de je ne sais quoi. Se n’est pas dans mon style et je me met a la dévisager, de taille moyenne fini blonde avec des mèches marron. Un visage fin des lèvres pulpeuse un nez fin des yeux couleur turquoise. Elle a tout pour plaire ou pour déplaire sa dépend comment on vois les chose, moi je penserais plus pour la deuxième hypothèse.

Alors mon choupinou tu va mieux ?Mon choupinou quel horreur.

Oui je vais mieux merci ! Je prend place sur le canapé loin de Chel, celui ci le remarque et il n’a pas l’air de comprendre pourquoi.

Bon alors si nous faisions un peu connaissance Alex !

D’accord.

Bien…donc quel age a tu ?

18 ans.

Ha le belle age, enfin je suis pas vielle j’en ai que 22.

Liz, une femme ne dit pas son age. Mon dieu il vient de l’appeler Liz, ma jalousie revient en force. Une fois de plus Chel la senti et il se rapproche de moi, se qui a l’air de rendre « Liz » heureuse. Mais c’est tout le contraire sa me met mal a l’aise.

Enfin je peu le dire je suis encore jeune.

Bon Alex, alors tu ai heureux avec Chel ? En quoi sa la regarde.

Oui.

Off course qui ne le serai pas. Mais qu’es quelle en sait, mince j’en ai marre je veux rentrer, je veux rester seul un moment.

Liz !

Quoi Chel sait vrai. Bon buvons du thé.

Pendant que nous prenions le thé je n’ai rien dit, de toute manière Elisabeth faisait la conversation pour trois, de plus je m’en ficher ma jalousie avait pris le dessus. Car pendant quelle parlé elle faisait des yeux doux a Chel mettait sa main sur sa cuisse, et sa me rend dingue et le lien et perturbé je le sens. Sa viens que de moi tout sa mais je ne peux pas m’empecher d’etre jaloux, meme si j’ai encore du mal a ma l’avouer j’ai peur de perdre Chel. Et cette fille pour le calice que je suis est une menace.

Maintenant je sais que dans la distribution du bonheur dieu m’avait oublier, et ben maintenant sa se confirme. Car etre avec elle et Chel c’est déjà un supplice mais seul c’est la mort, je vous dit sa parce que alors que Chel discuter je ne sais quoi avec elle. Quand Nike et venue annoncer a Chel qu’une personne souhaiter lui parler.

Dit Liz je peu prendre l’appel dans ton bureau ?

important ?

Oui, alors ?

Dans ma chambre tu sera plus tranquille. Elle veut pas dans son lit aussi, je vais la tuer.

D’accord.

En attendant j’emmène Alex dans le jardin. Non je veux pas rester avec elle. Donc Chel part sans me regarder une seul fois et moi je me retrouve bras sans dessus dessous avec « Liz » pour nous diriger vers le jardin. Quand je vous ai dit quelle était une obsédée les tableau qui son dans le couloir qui mène au jardin sont ornés d’homme nus, bref je ne dit rien. Arriver nous prenons place sur une balancelle.

Je crois que toi et moi on et parti du mauvais pied !

pourquoi dite vous ça ?

Alex sa se voit que tu ne m’aime pas

Non je vous rassure ! Voilà là je ressemble a mon père, un vrai focu.

Alors c’est ok, au faite j’ai vue que tu regarder mais tableau il te plaisent ? La c’est sur elle et dingue.

Ben..

C’est moi qui les ai peint, avec de vrai modèle.

Vous avais du talent.

Merci Alex. Je veux pas etre vulgaire, mais elle et conne.

Tu sais je connais Chel depuis longtemps, mais j’ai réfléchit enfaîte c’est toi qui le connais le mieux.

Je crois pas sa fait pas longtemps que je suis son calice.

Oui mais le lien.

Comment vous…

Je me suis renseigner.

Ha. J’avoue je suis sidéré.

Et…comment et t’il ?Hein ?

Comme ça ?

En tant qu’amant ? Mince elle manque pas de toupé, c’est intime. Je sais que c’est intime, mais il et si mystérieux. Il ne dit rien sa m’intrigue.

Ben…il est gentil.

Mais encore ?

Ne vous vexer pas c’est intime.

Allons Alex sa restera entre nous, il et comment doux ? brusque ?

Non !

Il n’ai pas doux.

Si ! je veux dire il n’est pas brusque.

Je le savais sous son mauvais caractère il a un cœur tendre. Dieu sauve moi je suis dans la quatrième dimension.

Mais comment fait il l’amour ? Si je te dit sa Alex c’est parce que j’aime Chel depuis longtemps. Et quand j’ai su qu’il avait pris un calice je n’ai jamais était aussi malheureuse. Donc je t’envie, et te haie a la foi tu ma pris l’homme que j’aime. Comment elle peu me dire ça comme sa, c’est une malade cette femme. Chel revient s’il te plait. Tu sais bien sur qu’on ne peu pas séparer le vampire de son calice, donc je ne ferai rien, je te laisse Chel. Je veux juste savoir comment c’est de faire l’amour avec lui ?

Merveilleux. Ma réponse n’était qu’un murmure mais je sais quelle la entendu, car c’est yeux se sont illuminés.

Alex ! Chel.

Chel !

Désolé Liz nous devons rentrer.

Quelle dommage je voulais vous inviter a dîner.

Une autre fois merci Liz.

J’avoue que le reste de la conversation mais passer au dessus, les phrases de « Liz » passer en boucle dans ma tête. De retour a la maison je filais droit dans la chambre. Un quart d’heure plus tard Chel vint se coucher près de moi. Il ne ma rien dit il sait contenté de m’embrasser et me caresser, c’était bien jusqu'à que je me souvienne d’une chose « Liz ».Il se laissait faire quand elle lui toucher les fesses et la cuisse, lui a le droit d’etre jaloux pourquoi pas moi.

Non !

Qu’es qu’il y a Alex ?

J’ai dit non !

J’ai fait quelque chose de mal. J’aurais pu lui dire, mais sa je ne suis rendu compte que plus tard.

Je veux pas que vous me touchiez, et encore moins que vous me faite l’amour.

Pourquoi ? J’ai senti sa colère et sa déception.

Pourquoi ?Réfléchissais. je ne pouvais pas rester une seconde de plus dans la chambre c’était trop.

Ou va tu ?

Dormir dans le salon.

Quoi ?

Je crois que sa vos mieux.

Bien puisque que c’est comme sa. Un Chel en colère je le souhaite a personne, mais j’étais blesser dans mon amour propre et il fallait que je mette les chose au point, c’est pour sa que je voulais dormir seul. En tout cas je suis sur la bas de la porte que viens de claquer Chel avec force ; et la j’ai craquer j’ai couru jusqu’au salon et j’ai pleurer, j’avais mal. Notre lien était perturbé, je sentait qu’il était vraiment en colère, mais moi aussi. Donc c’est sur c’est pensée que je me suis endormi fatiguer de trop pleurer, mais si je mettais endormi ne serais qu’une secondes plus tard j’aurais pus sentir sa tristesse qui était aussi grande que la mienne.