Note de l’auteur :

Coucou^^

Tout d’abord je tiens a m’excuser pour ce retard en ce qui concerne ce chapitre, puis j’espère qu’il vous plaira^^

En ce qui concerne ta review Saya tout d’abords je tiens a te dire que je suis très contente et touché que tu soit aussi fan de ma fiction. Ensuite je le sais très bien que j’ai mis pas mal de temps a poster ce chapitre mais il faut me comprendre j’ai une vie et un travail et en plus de sa une petite panne d’inspiration. Donc je sais très bien a quelle point c’est très frustrant d’attendre la suite car moi aussi je suis une lisseuse de fic. Donc j’aimerais que tout le monde soit un peu plus tolérant et comprenne que j’ai une vie en dehors de ma fic. Malgré sa j’espère que je peu toujours te conter parmi mais fan. Bien sur on peu en parler par mail et j’accepte même de l’aide voir des idées pour mon prochain chapitre.

Bon je vous embête plus et bonne lecteur, et surtout n’oublier pas de me dire ce que vous en penser^^



Chapitre 13





Souvenirs



Depuis que je suis avec Chel les seules choses qui me préoccupent ce sont le fait de savoir si je suis un bon calice ou pas. Mais depuis ce matin je me surprends à penser à certaines choses, pourquoi maintenant ? Tout simplement parce ce que je suis seul dans la bibliothèque. Et que Chel est sortit, il m’a dit qu’il ferait vite, j’espère car je ne suis pas habitué à me séparer de lui et ça me fait peur comme pas possible. Alors je me suis posé sur le canapé et j’ai feuilleté quelques livres, puis je me suis mis à penser à mon père. Je me demandais comment il allait ou qu’est ce qu’il faisait, non pas qu’il me manquer, non pas du tout mais je ne sais pas. Un moment je me suis même surpris à penser qu’il c’était noyé sous son argent. Après j’ai pensé à Alyson, moi qui croyais qu’elle était mon amie je me suis trompé depuis mon anniversaire elle ne m’a pas envoyé une seul lettre, ça me rend un peu triste. Bon ça ne me dit pas ce que je vais faire car penser à tout sa me déprime, et le faite que Chel soit pas avec moi aussi. Soit fort Alex tu ne ressens pas un vide au fond de toi comme si on t’arracher un bout de cœur. En faîtes si, j’avoue que ça fait mal qu’il ne soit pas auprès de moi, je suis pathétique il doit rien sentir lui, alors s’il me voit comme ça. Je me prends trop la tête je vais regarder pour un livre ça va m’occuper l’esprit. Voyons la guerre de trois, conte et légende et …qu’est ce que c’est que ce livre. Parmis tout les autres je viens d’en trouver un qui a une reluire très différente, il est de taille moyenne assez épais et la couverture et rêche de couleur sang. J’avoue je ne sais pas si je dois l’ouvrir j’ai comme un mauvais pressentiment comme si une petite voix me disais de ne pas le prendre. Bien sur je suis têtu alors je le prends et retourne me mettre sur le canapé. Cela fait plus de deux minutes que je regarde le livre et du coup j’arrive plus à l’ouvrir. Ok a trois je l’ouvre 1..2..3

« Les souvenirs sont comme le temps, il passe mais ne s’oublie pas »

Voilà ce que contient la première page du livre, alors sur le coup je panique un peux car cette phrase me fait penser à un journal intime. Et si c’est celui de Chel et bien ça ne ce fait pas, il m’en voudrait beaucoup. Je m’apprête à le reposer la ou je l’ai trouvé quand soudain un bruit me stoppe dans ma lancer.

- Alex tu et là ? Mince Chel, qu’es que je fais, oh mon dieu !

- Oui Chel.

Vite je dois…

- Alex !

- Heu…Je vois le regard de Chel se poser directement sur le livre, je n’arrive pas à comprendre les sentiments qui traversent ses yeux.

- Je…heu Chel je suis désolé j’ai trouvé ce livre parmi ceux-là…

- Tu l’as ouvert ?

- Hein…heu non enfin si juste la première page c’est tout. Vous m’en voulait ?

Alors la je panique, déjà parce qu’il ne me répond pas puis parce qu’il me prend le livre.

- Chel ?

- Non Alex je ne t’en veux pas, ce n’est pas comme si tu avais fouiller.

- Quoi ? Non pas du tout je…

- Chut Alex je te crois. C’est que ça fait si longtemps que je n’ai pas ouvert ce livre j’ai un peu peur de ce que je peux y trouver.

- Je suis désolé alors je ne veux pas vous faire repenser à de mauvais souvenir.

- Ce n’ai pas grave, je crois que tu aimerais savoir ce qu’il contient. Ne me dit pas non je le sens.

Je n’ai pas le temps de lui répondre que ses lèvres se sont déjà pausées sur les miennes, je ne sais pas si je dois aimer ou détester ce baiser. Car je sens toute la détresse de Chel me percuter comme une vague puissante. Alors je me contente de lui répondre avec toute la tendresse dont je suis capable.

- Je crois que tu mérites de regarder ce livre avec moi.

Je ne réponds rien, je me contente de le suivre sur le canapé. Je vois Chel caresser la couverture du livre comme pour apprivoiser celui ci.

- Je ne me souvenais même plus qu’il y avait cette phrase. Je n’ose toujours rien dire, je le laisse faire et puis je suis assez presser de savoir ce que contient ce livre. A ma grande surprise celui ci contient des photos, elle on l’air de dater.

- C’est vous sur les photos ?

- Oui c’est moi.

- Vous etes beau. J’avoue qu’il n’y a pas beaucoup de différence par rapport à maintenant, il a juste les cheveux plus court et lâchés. Mais il dégage toujours cette même grâce, la seul chose que je remarque vraiment ce sont ses yeux, ils ont l’air éteint puis … Mais qu’est ce que qu’il a me regarder avec son sourire moqueur, sa m’énerve.

- Merci.

- Ne vous moquer pas Chel.

- Mais si tu es tellement beau quand tu rougis. Malgré ma gêne cela ne m’empêche pas de me rapprocher de lui et mettre ma tête dans son cou, j’ai senti dans le lien qu’il était surpris par mon geste.

- Je devrais vraiment te le dire plus souvent. Bref revenons aux photos ou je crois que le canapé ne servira pas cas s’asseoir pour lire les livres. Son allusion mais quelque seconde pour atteindre mon cerveau, et bien sur je rougie encore une fois de plus. J’avais quinze ans sur cette photo, d’ailleurs c’est Fye qui l’a prise alors que je ne voulais pas du tout. J’avoue que tout n’était pas rose à ce moment de ma vie.

flash back

Pensées de Chel

- Chel ne bouges pas !

- Non Fye tu sais très bien que je déteste que l’on me prenne en photo.

- Pourquoi dit tu ça, tu es très beau et très photogénique.

- Ok ok prends la si ça te fais plaisir. De toute façon il ne changera jamais.

- Voilà tu n’ais pas mort ?

- Presque !

- Ne dit pas de bêtise. Au faite ce soir tu peux venir ou pas alors, j’aimerai vraiment que tu assistes à ce concert.

- Désolé Fye je ne peux pas.

- Pourquoi ? C’est à cause de ton père encore ?

- Fye tu sais très bien que…

- Non justement pourquoi tu le laisses faire ? Il n’a pas à s’en prendre à toi de cette façon, et puis tu es bien plus fort que lui.

- Il me met la pression.

- Par rapport à quoi dit moi ?

Je n’ose pas lui répondre et de toute manière il a beau être mon meilleur ami je ne peux pas lui dire.

- Désolé Fye.

- D’accord continue comme sa. Ne viens pas me voir quand ça aura finie en bain de sang.

Le reste de ma journée se passa dans le silence plonger dans mes soucies, Fye bien sur ne m’a plus adressé la parole. Pourquoi ma vie est si triste et terne, c’est le destin de tout vampire dirait mon père. Alors pourquoi veut-il à tout prix me forcer à faire des choses si horribles, bien sur ma mère ne fait rien. Elle le craint trop pour ça, et moi je suis encore plus pathétique.

-Fils te voilà enfin, il était temps que tu arrives.

-Désolé père un de mes cours a durés plus longtemps. Mon père l’être le plus ignoble que la terre est crée, tout le monde ne cesse de me dire que je lui ressemble, moi je ne trouve pas. Il a beau avoir le même visage que moi, cet homme ne me ressemble en rien.

-Bien, si je t’ai fait mander c’est pour te parler de quelque chose d’important dans ta vie de vampire. Je m’attends au pire. Tu es arrivé à un âge ou tu dois prendre des décisions, qui influenceront ton future. Je crois que tu as deviné de quoi je voulais te parler ? J’avoue j’ai un peu peur de répondre car je ne vois pas du tout de quoi il parle. Alors fils ?

-Ben…

-Tu me déçois. Je te parle de ton futur calice.

-Quoi. Pourquoi me parle-t-il de ça, avoir un calice est ma plus grande peur.

-Oui tu sais très bien que nous ne pouvons vivre convenablement sans calice.

-Il n’est pas un peu tôt pour en parler.

-Bien sur que non, cela et très important ton frère à déjà choisi sa futur compagne.

-Mais je ne suis pas mon frère, je n’ai que 15 ans.

-Raison de plus tu crois que plus tard quelqu’un voudra d’un vampire comme toi. Voilà il recommence il n’arrête pas de me rabaisser après il se plaint que je n’ai pas confiance en moi. Mais je ne veux pas de calice.

-Mais père un calice ce n’est quelque chose que l’on prend à la légère.

-Tu vas m’apprendre ça à moi, pour qui tu te prends tu je sais ce qui et bon pour toi ou pas.

-Mais …

-Fermes la ! Je choisirai ton calice, tu auras une femme de bonne famille. Alors la il rêve je déteste les femmes, jamais je n’en toucherai une. Tu m’entends Chel ?

-Oui père, mais je ne vous laisserais pas choisir à ma place.

-A bon et pourquoi donc ?

-Un calice reste sa vie entière avec son vampire, je ne veux pas d’une personne que je n’aime pas.

-Tu finiras par l’aimais. Maintenant vas je ne veux plus te voir.

Je ne cherche même pas à lui répondre, je suis trop triste et dégoûté pour ça. Pourquoi veut-il tout le temps diriger ma vie. Par contre en ce qui concerne mon frère, la vie et injuste.

Je ne sais combien de temps j’ai dormi, après la discussion avec mon père je me suis endormie comme une souche. Mon sommeil fut peuplé de cauchemar sans que ni tête, en parlant de celle ci elle me fait un mal atroce. Malgré ma flemme je me lève les cachets se trouvent à la cuisine. La maison et vide et calme je crois que tout le monde et sortie le seul bruit que l’on entend ce sont ceux de mes pas. Soudain une lumière m’attire, puis un gémissement. Cela provient du bureau de mon père, je sais que ça ne me regarde pas mes les gémissements se font de plus en plus fort. La porte est entrouverte le bruit me parvient plus distinctement, sans plus attendre je regarde dans l’entrebâillement. Ce que je vois, mon père assis sur son grand fauteuil, entrain de se faire faire une fellation par son calice. Malgré le dégoût qui m’envahie je ne peux me détacher de cette scène. Puis je n’ose plus faire aucun geste car mon père a relevé sa tête pour repousser sans ménagement son calice.

- Tu n’es qu’un bon à rien, hélas je ne peux pas te tuer car sinon c’est moi qui en mourais.

- Mais axel.

- Tait toi.

Je suis horrifié pourquoi vient-il de le frapper, pauvre Daniel il subit depuis toutes ces années les émois de mon père. Et pourquoi car ma mère ne veut plus de lui c’est pour ça qu’il s’est pris un calice. Et un homme je me suis toujours poser la question lui qui disait que deux hommes ensemble était la pire chose au monde. En attendant lui il couche bien avec daniel. Quand à lui le pauvre il l’aime mon père, comment je le sais il me l’a dit tout simplement. Voilà pourquoi je ne veux pas de calice, car j’ai peur de devenir comme mon père. De traiter la personne qui me tiens en vie comme une merde voir pire. J’ai trop peur de ça, je préfère finir seul.

-Arrête axel, s’il te plait.

-Ferme la je me demande pourquoi j’ai pris un homme si faible, tu ne mérite même pas d’être mon calice.

Non qu’il arrête il va finir par le tuer, je n’ai même pas le temps de réfléchir que je me trouve devant mon père pour retenir sa main.

-Sors Daniel !

-Mais Chel !

-Sors je t’ai dit. Il est parti je me sens plus rassuré, maintenant je suis aussi un peu en galère j’ai lâché la main de mon père. Je ne vois pas son visage car sa tête et baissé mais ça ne présage rien de bon.

-Père je…CLACK !!!!! Je n’ais pas eu le temps de finir ma phrase que sa main m’avait déjà propulsé à terre, et la je vois enfin son visage. Ses yeux ont changés de couleur et ses canines sont dehors prêtes à mordre.

-Comment as tu osé t’en mêler ?

-Vous alliez le tuer !

-Et alors cela ne te regarde pas, il n’est pas ton calice.

-Justement vous devriez le traiter avec plus de respect, car jusqu’aux dernières nouvelles c’est lui qui vous tient en vie. Je n’aurais pas du dire ça car une fois de plus je me suis pris une gifle dix fois plus puissante que la première.

- Oses me redire ça !

-Sans problème, c’est pour ça que je ne veux pas de calice, j’ai trop peur de finir comme vous. Un raté même plus capable de s’occuper de sa femme qui ce retrouve rabaissé à ce prendre un calice. Un homme en plus, puis même lui vous êtes incapable de le traiter convenablement. Vous êtes un monstre sans cœur, vous savez quoi ? Vous me faites pitié j’ai honte d’être votre fils.

Ca y et j’ai réussi à lui dire ce que j’avais sur le cœur depuis tout ce temps, je me sens comme libéré d’un poids.

- J’avoue tu a raison Chel, mais sauf sur un point. C’est toi qui ne mérite pas d’être mon fils.

Je n’ai pas eu le temps de faire un geste qu’il c’est jeté sur moi, les coups venaient de toute part je n’avais même plus la force de me défendre. Puis je fus submergé de panique car ses mains avez emprisonné mon cou, l’air me manqué. Je ne voulais pas quitter cette terre sans avoir connu l’amour.

-Père arrêtez, vous allez le tuer !

Cette vois je la connais, c’est …c’est Rochel mon frère, je le vois qui enlève mon père qui était avachi sur moi. L’air repasse dans mes poumons. Avec difficulté je réussis à me lever même si la terre tournait assez vite. Puis j’entends vaguement des pas précipité ce diriger vers nous, et la je vois apparaître ma mère. Et son regard ne dit rien qui vaille.

-Qu’as-tu fais Chel ?

-Moi ? C’est lui qui m’a agressé.

-TAIS-TOI !!!!!!!! Je ne comprends pas très bien tout ce qui ce passe ma mère ne m’a jamais parlé sur ce ton, pourquoi prend-elle la défense d’un homme qu’elle déteste. Sûrement par peur.

-Mais mère ?

- Va-t’en !

-Quoi ?

-Je t’ai dit de t’en aller, tu n’es plus mon fils, je ne te reconnais plus. Je ne te veux plus sous mon toit. Va-t’EN !!!!!!!!!!!

Sans chercher à savoir je sors de la maison la pluie bas fort, je m’en contre fiche. Pourquoi m’a t’elle fait ça, je la hais. Qu’est-ce que je vais faire, je me sens si mal.

Toc toc toc

-Oui j’arrive ! Quoi ?

-Fye.

Fin du flash back

Je ne sais pas quoi penser ni faire je suis comme tétanisé, la triste et la détresse de Chel me submerge comme un raz de marrée. Il me faudra quelques secondes pour voir que des larmes coulées sur ces joues, et que son regard était éteint. Trop de mauvais souvenir. Je ne me rendis même pas compte que malgré moi, je pleurais. Ce n’était pas ma tristesse mais la sienne.

-Chel je suis désolé. Sans plus chercher je me jette dans ses bras, ce satané livre tombe au sol. C’est ma faute je n’aurais pas du prendre ce livre, s’il vous plait ne pleuré pas. Ca fait trop mal.

Depuis combien d’années je ne m’étais pas souvenu de ça, presque dix ans. Mais ce souvenir fut celui de trop, sans m’en rendre compte des larmes acides coulent sur mes joues. Ma douleur est tellement forte que sur le moment je ne me rends pas compte que c’est mon calice qui souffre autant que moi. Je ne redescends sur terre que quand je sens les larmes d’Alex dans mon cou, je sui pathétique je le fais souffrir pour rien.

-Pardonnes-moi Alex.

-Je n’ai rien à vous pardonné, au contraire vous avez eu le courage de me raconter une période de votre vie que vous aviez enfoui depuis longtemps. Mais s’il vous plait calmait vous, sinon je ne supporterais pas longtemps cette douleur.

-Mon père avait raison, je suis pathétique. Finalement je suis comme lui incapable de m’occuper de mon propre calice.

-C’EST FAUX !!! Ma voix raisonna dans toute la pièce, je crois que je n’ai jamais été aussi en colère. C’est faux Chel, moi j’en suis la preuve.

-Oui la preuve de ma faiblesse, mon père a acheté Daniel à l’époque. J’ai fais pareil avec toi.

-Non ce n’ai pas du tout la même chose, je sais tout ça. Certains penseront ce qu’ils veulent, que c’est mal de m’avoir acheté. Mais vous n’etes pas votre père, vous vous occupez bien de moi. Je ne suis pas malheureux, pas du tout même. Je crois que je n’ai jamais était aussi heureux de toute ma vie Chel.

J’ai du mal à croire les paroles d’Alex, oui j’ai tout fait pour l’avoir. Mais je suis en contradiction avec moi même, je ne voulais pas de calice et pourtant.

-Chel dite quelque chose.

-C’est vrai ?

-De quoi ?

-Que tu es heureux avec moi, ne me dit pas que grâce au lien je peux le sentir. C’est de ta bouche que je veux l’entendre.

-Oui, oui je suis heureux avec vous.

-Tu ne m’en veux pas du tout même un peu, parfois tu ne te dis pas que ta vie et foutu car tu la finiras avec moi. Je t’ai forcé à tout ça sans demander ton avis.

-Jamais je n’ai pensé ça, vous avez toujours était gentil et puis vous me traitez bien. Je ne regrette pas d’être votre calice. Je sais que vous avez vos doutes et vos peurs, moi aussi. Mais il ne faut pas laisser le passé gâcher notre futur.

-C’est facile à dire Alex.

-Ça je le sais, je m’en doute que vous avez eu une vie pas toute rose. Moi non plus et ça m’empêche pas de me lever le matin avec le sourire. Car je sais que vous etes la près de moi, pour le reste je m’en fiche. Je n’en reviens pas que je viens de lui dire ça, mais je le pense vraiment je suis bien avec lui même si ça ne fait pas longtemps.

-Tu sais je vais te dire quelque chose, après ce qu’il c’est passé avec mon père je ne voulais pas de calice. Même en grandissant je n’en voulais pas, mais en te voyant mon entêtement à vouloir rester seul a fondu comme neige au soleil. J’ai douté Alex, pendant je ne sais combien de temps. J’avais peur de te prendre, peur de te faire du mal.

-Mais je suis la, et sa va non. A moins que vous soyez déçu.

-JAMAIS !! Jamais tu m’entends, je crois que je n’ai jamais autant aimé la vie depuis que tu es là. Je crois que mon cœur va exploser, on ne m’a jamais dit de si belle chose.

-Alors promettez-moi de ne plus douter de vous comme ça. Vous n’êtes pas votre père. Le passé au passé, vous avez votre vie et moi. Alors si vous avez peur de me faire souffrir, alors ne faite plus cela.

On dit dans les livres que le vampire domine le calice, de n’importe quelle manière. C’est faux pur mensonge, je ne veux plus le faire souffrir. Il est la personne la plus cher à mes yeux, je ne veux pas laisser mes veilles peur idiotes gâcher tout ça.

-Bien je ferais de mon mieux Alex. Et merci.

-Merci de quoi ?

-D’être là, de me supporter. Et de m’apprécier malgré tout mes défauts.

Je n’ai pas besoin de répondre à cela il sait très bien ce que je ressens. Malgré cela je ne cherche plus et repousse ma timidité, et pose mes lèvres sur les siennes. Mon baiser est tendresse mais surtout très simple, je veux juste lui montrer que je suis là. Sans plus tarder il m’entoure très fort de ces bras, comme par peur de me perdre. Soudain une phrase me revient en mémoire, alors je m’écarte de lui sans ménagement. Je vois qu’il et très surpris par mon geste.

-Qui y a t’il ?

-Pourquoi dans l’un de vos souvenir votre père dit que s’il tuer Daniel il en mourait aussi.

Mon dieu je redouter cette question, car sur ce sujet je ne lui et jamais dit la vérité. Il n’en parle pas dans les livres, surement de peur d’effrayer le calice. Mais c’est idiot je sais qu’il m’en voudra quand je lui aurais dit.

-Je vais te dire quelque chose de très important Alex, et je sais que ça ne te plaira pas.

Je m’attends au pire je sens son angoisse comme si elle était la mienne. J’avoue ça me fait vraiment peur.

-Le vampire ne peut pas vivre sans son calice Alex.

-Oui ça je le sais mais…

-Non ce que je veux te dire c’est que si toi tu meurs j’en mourrai aussi.

-Quoi ?

-Oui ça me tuera de te perdre, je mourrais en même temps que toi. Alors que si moi je meurs toi tu pourras refaire ta vie, je pense que c’est pour ça que nous les vampires sommes si protecteur avec vous.

-Non c’est faux ! Dans les livres…

-Il ne le dise pas dans les livres. Mais c’est la vérité Alex.

Je n’en reviens pas, non sa doit être un cauchemar. C’est surtout injuste, je meurs il meurt. Je ne veux pas, non.

-Ne pleure pas Alex, s’il te plait. Viens !

-Non ! Je savais qu’il m’en voudrait, mais pas à ce point là. Je ne veux pas, pourquoi tu ne me la pas dit plutôt.

Alors là il est vraiment en colère, parce que jamais il ne m’a tutoyé.

-Je ne voulais pas te faire peur, et puis même tu aurais fait quoi ?

-Je ne me serais pas offert à toi si facilement !

J’ai l’impression de mettre pris une claque, je n’aurais jamais pensé ça de sa part.

-Alex calme-toi s’il te plait !

-Non ne me touches pas laisse-moi tranquille. Je suis vraiment en colère, je m’apprête à me lever quand soudain ma tête tourne, et la dernière chose que je vois c’est le visage inquiet de Chel.

« Je suis désolé Alex, je n’aurais pas du te mentir. Mais j’avais peur que tu refuse d’être mon compagnon en apprenant sa. Pardonne-moi, j’ai était qu’un égoïste. » Cette voix je la connais, c’est Chel, il est si inquiet. Et puis qu’est ce qu’il s’est passé, mes yeux ils sont lourd et ma tête me fait affreusement mal.

-Chel !

-Alex mon dieu tu te réveilles enfin. Ca va mieux.

-Ma tête elle me fait mal. Qu’est ce qu’il s’est passé ?

-Je crois que tu as reçu trop d’émotion à la foi, et tu n’en as pas l’habitue. Car le mélange des miens plus des tiens ton achever. Pardonnes-moi.

-Non je m’excuse de vous avoir parlé comme ça, je n’aurais pas du.

-Ta colère était légitime, et quelle colère de la à me tutoyer.

-Quoi ?

-Tu ne t’en souviens pas ?

-Ben j’ai comme un trou la.

-Ben oui tu m’as tutoyé, j’avoue que je préfère comme ça.

-Ben moi non, ce n’est pas prêt d’arriver une seconde fois.

-Ahaha peut importe Alex, je suis désolé de t’avoir menti.

-Je ne veux plus que ça arrive, je suis votre compagnon pas une chose sans cervelle. Je vous demande une seul chose ne me mentez plus.

-J’ai compris la leçon, je ne veux plus d’une telle dispute entre nous.

-Je suis d’accord.

Après ça je n’ai plus rien dit je me suis contenté de poser ma tête sur ces genoux, j’étais encore un peu en colère. Mais surtout je ne cessais de penser à ce que m’avait dit Chel, pourquoi moi je devrai continuer à vivre tranquillement alors que moi si je pars lui aussi devrais me suivre. Je devrais quand même arrêter de me prendre la tête, car sinon elle va exploser. Puis comme si une petite voix me l’avait soufflé mon regard se poser sur le livre ou du moins l’album photo. Quand il est tombé, il s’est ouvert sur une page, qui contient une photo assez surprenante. On dirait une serre avec des papillons.

- Dites Chel ou se trouve cette serre ?