Chapitre 8



Une seconde fois plus timide



Les trois jours suivant je ne fis pas grand chose a part dormir et manger. Il fallait que mon corps s’habitue. En se qui concerne Chel il est gentil et j’avoue il s’occupe bien de moi, la seul chose que je lui reproche c’est le faite qu’il ne parle pas beaucoup, donc le silence et moi on a une relation très intime. En parlant d’intime je pensais qu’il voudrais qu’on face l’amour mais il na rien essayé, il se contente de me mordre m’embrasser et de me coucher en me serrant contre lui. Je ne vais pas m’en plaindre car je ne sais pas comment je vais réagir cette fois ci, et j’appréhende un peu. Apres tout je ne suis pas très doué en la matière, j’ai peur de ne pas le satisfaire.

Bref le temps aujourd’hui fait des sienne car se matin il faisait beau et maintenant il pleut a torrent, et moi je m’ennuie a mourir, il faut dire se que je fais n’est pas très passionnant. Je suis allongé sur le divan qu’il y a dans le bureau de Chel et je lis un livre sur la magie noir, je trouve sa fascinant.

Quand a Chel il et occupé avec des papier, si je suis avec lui c’est que ces temps si rien qu’a l’idée d’etre loin de lui me fait une de ses peur. Mais sa n’a pas l’air de le déranger que je reste près de lui tout le temps au contraire même, je ne sais pas se qui me fais penser ça mais c’est peut etre sa façon d’agir avec moi. Peut etre, mais en attendant le livre commence a me barber et sa me donne envie de dormir avec se temps pourrie.

Tu t’ennuie Alex ?

J’avoue je m’ennuie un peu.

Pourquoi le livre n’est pas intéressant ?

Si mais a la longue.

Je comprend.

Tu sais tu peux aller ailleurs si tu veux !

Non ! La vache mon non était très catégorique. Pardon je ne voulais pas répondre de cette manière.

Se n’est pas grave, cela ne ma dérange pas que tu reste au contraire. C’était pour évité que tu t’ennuie.

De toute manière je ne peux pas sortir, je voulais allé dans le jardin mais avec se temps, impossible.

Désolé mais pour l’instant on ne peux pas sortir donc il faudra prendre ton mal en patience Alex !

Se n’est pas grave cela pourrais etre pire.

Apres cette brève discute malgré tout mes effort je fini par m’endormir, et commence un rêve que je n’ai pas l’habitude de faire. Cela s’appelle un rêve érotique, donc je suis dans la chambre de Chel ou plutot la notre et je suis assis sur le lit. La pièce et plongé dans la pénombre après un cour instant apparemment je décide d’allé prendre une douche. Je commence a retirer ma chemise quand je sens deux mains se joindre au mienne et fini de retirer ma chemise pour s’attaquer a mon pantalon tout en m’embrassent dans le cou. Je ne prend pas la peine de me retourner que je sais a qui appartient ses mains, en moins deux trois mouvement je suis nue et comme par magie j’entend l’eau couler dans le douche. Je fini par me retourner il est aussi dévêtue que moi et bien sur je rougie, je m’apprête a dire quelque chose que je suis dans la douche et lui m’embrasse comme si j’allais partir. Le baiser et les caresses en primes on l’effet escompter je suis exciter comme pas possible, ces mains retrace les moindres courbes de mon corps. Puis s’en m’en rendre compte je me trouve face au mur de la douche un doigt essaye de se glisser dans mon intimité je ne peux m’empecher de gémir de plus en plus, je veux qu’il aille plus vite et je crois qu’il a compris car près de ma cuisse je sens sont érection. J’avoue que c’est très intense il s’apprête a me pénétrer quand…voila je viens de me réveiller en sursaut et en sueur en plus, j’ai du mal a retrouver ma respiration et pour couronner le tout j’ai une érection qui me fais mal.

Tu sais je peux tolérer le faite de ne pas te toucher pendant plus de trois jour, mais là Alex c’est très dur ! La vache j’avais oublier que j’étais avec Chel. Car t’entendre gémir comme cela. Pire il doit ressentir mon désir et surtout ma frustration je crois que c’est le chose la plus embarrassante.

Je suis désolé. Je suis mort de honte et mon érection qui ne veux pas diminuer, car mon corps c’est que Chel a était l’objet de mon désir dans se rêve et l’avoir juste a coté de moi comme ça c’est assez dur. Je crois que je vais prendre une douche. J’amorce un mouvement pour me lever je sens son regard dans mon dos, puis il se passe quelque chose a laquelle je ne m’attendais pas je ressens une vague de désir qui n’est pas le mienne et se fait trop bizarre. Du coup je m’arrête devant la porte je ne sais pas quoi faire, d’un coté j’ai une érection de tout les temps et d’un autre le peur de deux jours revient. J’étais tellement dans mes pensées que je n’ai pas compris de suite que Chel était entrain de me parler.

Pardon mais j’ai pas compris ? Je le vois soupiré.

Je disais je sais que tu a ressentie mon envie, mais ne t’inquiète pas je ne ferais rien car…

Vous ferais aussi doucement que le première fois ? Mon dieu pourquoi j’ai dit ça c’est sortit tout seul, et a le voir je crois que lui non plus n’a pas tout suivie.

Quoi ?

Je disais…le dire une seconde fois c’est plus dur et je vais fondre tellement je suis rouge. Es se que vous serais aussi doux que le première fois. Voilà je l’ai dit c’était dur, mais se n’est pas le plus important se qu’il l’est c’est sa réaction. Et elle ne tarde pas a venir car je le vois se lever puis se rapprocher de moi pour n’etre cas quelque centimètre.

Tu es sérieux ? Je ne peux que hocher la tête. Tu en a vraiment envie, se n’est pas a cause du rêve. Sinon c’est vexant pour moi. Je comprend ou il veux en venir il crois qu’il est là juste pour assouvir mon désir née de se cupide rêve, mais il se trompe.

Oui je suis sérieux et sa na rien avoir avec se rêve. Comment j’ai trouvé le force pour dire cela je sais pas.

Alors oui, je serais aussi doux que la première fois comme toute les prochaines. Je rougie encore plus pour deux raison, la première pour se qu’il ma dit et l’autre parce que sa main et passé sous ma chemise. Puis il se penche vers moi pour m’embrasser.

Non ! Ou la ce regard je ne veux plus le voir alors vite l’explication de mon non.

Dans la chambre, on va dans la chambre. Son regard s’adoucie, il me prend dans ces bras et me conduis jusqu’e dans la chambre je vois qu’il a l’air pressé, mais je ne veux pas je veux qu’il y aille lentement comme la première fois. Bien sur il la sentit dans le lien donc il me garde un moment dans ces bras tout en me caressant le dos. On reste pas mal de temps dans cette position je ne vois pas pourquoi il ne fais rien, puis carrément il arrête de me caresser le dos.

Si vous ne voulais pas c’est pas grave ! Je reste étonné pour deux raison, la première parce que il ma serre plus étroitement contre lui et la seconde par sa réponse a laquelle je ne m’attendais pas. Et puis je ne me croyais pas capable de dire ça.

Se n’est pas que je ne veux pas ! Disons que le souvenir de la première fois est encore présent. Là je suis vexé j’ai était si nul ?

Sa na rien avoir avec toi ! Tu a était très bien. Sa viens de moi. Je releve la tête pour le regarder dans les yeux.

Vous avez était gentil pourtant.

Je sais mais je tes quand meme forcé. Et là j’ai disons peur de mal mis prendre.

Si sa vous ennuis trop on ne ferra rien c’est pas grave. Je décide de me détacher de lui, mais il me retient .Non je vais pas encore attendre, trois jours c’était déjà trop long.

Je n’ai pas le temps de répondre que ces lèvres trouvent les miennes, les enlacent avec lenteur, s’en éloignant pour mieux les reprendre tout en me caressant. Mes mains qui jusque là me serraient contre lui se détachent insensiblement pour venir se poser sur mes épaules. Il me répond en retenant mes lèvres quand elles se détachent une fois de plus des siennes et son cou se détend pour mieux s’en rapprocher.

Je commence a me détendre peu à peu malgré la tempête qui semble gagner en violence au dehors.

Je me sens bien ici dans cet abri étroit… Je me rappelle quand enfant je m’éveillais de cauchemars et ne trouvais rien autour de moi pour me soutenir. Alors, dans le silence lugubre de la maison, pour me sentir moins seul j’imaginé que maman me serait dans ces bras en me disant qu’une belle personne viendra me chercher et je serais heureux pour toujours.

Et me voilà aujourd’hui devenu cet homme que ma maman imaginaire décrivait, dans les bras bien réels de celui qui doit me rendre heureux, dont la tendresse est palpable et qui n’est pas le fruit de mon imagination.

Et c’est bien mieux que tout ce que mon pauvre cerveau a jamais pu inventer.

Il caresse du pouce la commissure de mes lèvres. J’ouvre un instant mes paupières lourdes de désir pour distinguer le visage de Chel tendu vers moi, sa langue va d’elle-même quémander le passage puis se faufiler dans sa bouche accueillante.

Elle rencontre sa compagne, elles commencent à se frôler de la pointe, se taquinant délicieusement ; j’en ai des frissons le long de mon échine et Chel me saisit un peu brusquement par la taille pour mieux nous rapprocher. Je me sens fondre dans ses bras et dans sa bouche pendant que son cœur bat contre ma cage thoracique et que le mien cogne si fort qu’il semble vouloir en sortir pour le rejoindre.

Quand je rejette la tête en arrière à la recherche d’un peu d’air, il dévore mon cou de baisers impatients, défaisant les premiers boutons de ma chemise pour mieux l’atteindre.

Je pousse un premier gémissement en sentant son bassin se mouvoir contre le mien. Les mains de Chel s’insinuent sous mon jean pour retrouver leur place de prédilection.

Au dehors, les éléments se déchaînent. J’entend un craquement tout proche et l’éclair suivant me montre dans un flash de lumière le visage détendu de Chel.

La lumière était si vive que le craquement entendu ne peut être qu’un volet emporté par la tourmente, mais je ne pense plus qu’à ma tourmente personnelle : Chel qui persiste à taquiner mon postérieur, ses mains toujours plongées sous mon boxer et mon pantalon dans lequel je suis de plus en plus à l’étroit.

Une de ces mains descend le long de mon ventre l’autre bataille avec la fermeture de son pantalon. Chel me tend une langue mutine, je sais qu’il veut que se soit moi qui l’embrasse. Mais je suis pas doué, son regard veut tout dire j’ai commencé donc j’assume. Je m’avance pour l’embrasser du mieux que possible. Sa langue se raidit pour mieux que je la prenne en bouche, me faisant mimer les gestes d’une caresse encore plus intime…comment je peux penser ça, j’y connais rien.

Ces mains quittent leur place pour s’en prendre à leur tour à mon pantalon, m’en libérant rapidement.

Il arrache presque ce qui me reste de sous-vêtements. Il en fait autant avec les siens.

Nos deux érections à nu se touchent, envoyant des ondes de plaisir le long de mon échine pendant que les mains de Chel remontent ma colonne vertébrale sous mon tee shirt.

Il rompt notre baiser et s’étire encore, comme s’il voulait avoir davantage de peau à coller à la mienne. Il finit de déboutonner sa chemise et hausse mon tee shirt. Je gémis encore quand il soulève son bassin pour mieux caresser mon sexe du sien puis agrippe mes hanches pour guider nos mouvements.

Un nouvel éclair retentit, nous permettant de lire dans les yeux de l’autre la même ivresse, le même abandon. Son regard ne cache rien de son désir et j’avoue que je n’en mène pas moins. Comme si en seulement trois jours plusieurs barrière étaient tombés d’un coup.

Il se met a onduler et je ne sais pas comment je n’ai pas déjà explosé tant mon corps est saturé de plaisir.

Chel accentue la cadence en faisant bouger ses hanches, l’air est lourd de l’odeur de nos sexes.

Il avance une main entre nos jambes et frôle ma verge du bout des doigts pendant qu’elle continue à aller et venir contre son ventre.

Il tremble et se retient, je le vois bien : il veut venir en même temps que moi et lorsque son index se met à dessiner par affleurements des lignes entre mes testicules et mon intimité c’en est trop et je me laisse submerger par la jouissance, le sentant se répandre dans le creux de mon corps.

Mon dieu ! Je ne savais déjà plus où j’étais et voilà que cette main qui m’avait abandonné me revient : ses doigts fins sont en train de titiller mon intimité et la perspective de ce qui va suivre suffit à faire monter en moi une bouffée de chaleur semblable à une décharge d’adrénaline, mon corps se cambre encore et j’entends sa voix qui me murmure : « ne tremble pas Alex, et confiance en moi.

Un premier doigt s’enfonce, il courbe son index pour provoquer en moi une onde de plaisir qu’il sent vibrer de son autre main quand elle parcourt ma verge, il s’amuse à prolonger cette délicieuse torture.

Doucement il continue ses va et vient avec un tel soin que je n’ai ressenti aucune douleur quand je me rends compte que trois de ses doigts sont en moi à présent. Abandonné à lui, pantelant face à ses agissements, je suis sur le point de le supplier de me rejoindre quand il retire sa main pour présenter son sexe. Il me pénètre prudemment et je pousse un léger cris, alors il enchaîne les coups de reins, ramenant mon corps vers l’intérieur du lit, soulevant mes fesses pour mieux entrer en moi.

J’avance mes mains dans sa direction pour toucher son torse, mes cuisses caressent ses flancs au rythme de ses mouvements, la jouissance monte, impérieuse, dévorante, et il se répand en moi peu de temps après que j’aie explosé entre nos ventres.

Il doit être épuisé pour s’être affalé ainsi sur moi mais même s’il m’étouffe un peu j’en suis heureux et le sers contre moi. Il roule sur le côté sans que je ne relâche mon étreinte.

Je peux le voir enfin me sourire, approcher son visage du mien pour déposer un léger baiser sur mes lèvres. Allongés l’un contre l’autre nous nous reposons.

Au bout de dix minute de silence je vois Chel se tourner vers moi et il s’apprête a dire quelque chose.

Je suis…Je l’arrête je sais ce qui veux me dire.

C’est rien. Je me sert contre lui et je m’endors, quand a lui il me sert fort dans c’est bras.